1. La Vie de Solange, ou les mémoires de la Comtesse de *** (1)


    Datte: 24/06/2019, Catégories: Hétéro Auteur: Mir, Source: Xstory

    ... ce plaisir que l’Eglise nous interdit. Laissez-moi vous y conduire, laissez-moi vous instruire. Je ne vous ferai que du bien.
    
    Il commença alors à s’activer doucement en moi. Je ne pouvais m’empêcher d’imaginer les servantes que mon frère soumettait. Je me figurais ma position, entièrement soumise aux mouvements et à la verge de mon cousin, besognée comme une domestique, en secret, étouffant mes gémissements. Cette pensée écarta la souffrance, je me pris à apprécier la pénétration et à répondre de mon corps à l’emmanchement désormais vigoureux que me faisait subir mon cousin. Haletant plus fort, il attrapa mes hanches pour approfondir la sodomie. Je tâchais de participer, ondulant maladroitement sous lui, toujours empêtrée de robe et jupons. Il poussait un halètement étouffé à chaque fois qu’il forçait son braquemart en moi, et murmurait en ressortant :
    
    - Vous êtes plus brûlante qu’une catin… Je voudrais vous posséder ainsi des heures… Oh, serrez bien vos adorables fesses sur moi, ma cousine… quel plaisir de vous emmancher ainsi…
    
    Je glissai une main entre mes cuisses, reproduisant le mouvement que m’avait appris mon cousin lors de notre première… expérience. Je me mis alors à gémir, essayant tant bien que mal de rester silencieuse. Entendant mon plaisir, mon cousin accéléra, ravivant un peu la douleur. Il me besognait si fort que le bruit de son vit entrant et sortant couvrait ses halètements. Je me sentais dilatée à l’extrême, mais la souffrance avait disparu. ...
    ... Seul demeurait le plaisir de me sentir offerte à mon cousin, sa verge me possédant avec vigueur, son corps m’immobilisant sous lui.
    
    Mes gémissements s’intensifièrent au point que mon cousin me bâillonna de la main. Ce faisant, il approfondit ses mouvements, jusqu’à ce que la sodomie devînt brutale. Je me laissai entièrement dominer par son rythme et son plaisir. Je finis par jouir, crispée sur mes doigts, criant de plaisir dans sa main qui me réduisait toujours au silence.
    
    J’avais joui depuis un moment mais il continuait à besogner, ses halètements devenant ahanements. Il finit par agripper mes épaules et envoyer brutalement son bassin contre moi. Je sentis sa verge gonfler encore davantage, m’arrachant un léger cri, tandis que ses bourses pulsaient. Immédiatement après, un liquide brûlant se répandit en moi. Son foutre chaud me remplit, sa verge enflée l’empêchant de sortir par mon anus. Il ahana à nouveau, je sentis une nouvelle giclée. Cela dura longtemps. Il n’avait pas déchargé ainsi dans ma bouche la semaine précédente : visiblement, mon fondement lui plaisait davantage.
    
    Je ne sais combien de fois je le sentis se contracter tandis que son vit pulsait en moi. Un cri étouffé ponctuait à chaque fois son plaisir, je lui répondais d’un léger gémissement, tirant plaisir de son plaisir, de savoir qu’il aimait à me verger ainsi et m’emplir de sa jouissance. Le foutre déborda, mon corps saturé de fluide n’en pouvait accepter plus.
    
    Il finit par s’apaiser puis se ...