1. La Vie de Solange, ou les mémoires de la Comtesse de *** (1)


    Datte: 24/06/2019, Catégories: Hétéro Auteur: Mir, Source: Xstory

    ... retirer.
    
    Je n’osai pas bouger : je sentais le liquide séminal couler hors de mon anus sur le bas de mes fesses, vers mes cuisses ; je craignais de tacher mes habits.
    
    Mon cousin m’aida à me redresser, soulevant ma robe pour éviter toute souillure, et me fit accroupir. Mon corps relâcha dans un bruit mouillé une longue coulée de foutre. Mon cousin m’introduisit deux doigts dans le fondement pour l’élargir et faciliter l’écoulement. Je ne pus m’empêcher de haleter discrètement.
    
    Au bout de quelques minutes, il me sembla que je pouvais me redresser sans crainte de salir mes jupons. Je regardais l’herbe sur la place où je m’étais tenue accroupie : elle était entièrement blanche du liquide poisseux.
    
    - Veuillez excuser la durée et l’expansion de mon plaisir, chère cousine, mais les attraits de votre corps s’avèrent bien trop puissants pour mon âme : je n’ai su me réfréner, d’autant que je me suis tenu une éternelle semaine loin de vos charmes…
    
    Je me serrai contre lui, ravie.
    
    - Mon cousin, c’est un tel bonheur de vous être agréable de cette manière… Prenez tout le plaisir que vous voulez en moi, avec tout le temps qu’il faudra : j’aime à vous sentir vous répandre ainsi, à m’honorer de votre jouissance et de votre savoir dans un domaine où j’ai si peu d’instruction.
    
    Il baisa délicatement mes lèvres.
    
    - Vraiment, cousine ?
    
    - Vraiment, cousin.
    
    - Souhaitez-vous que nous poursuivions votre instruction ?
    
    Mon cœur bondit de joie. Je ne voulais que cela.
    
    - ...
    ... Au plus tôt, s’il vous plait, mon cousin…
    
    ¨˜"°º••º°"˜¨¨˜"°º••º°"˜¨¨˜"°º••º°"˜¨¨˜"°º••º°"˜¨
    
    C’était désormais devenu une habitude. En milieu d’après-midi, je quittais le boudoir où mon maitre de musique me faisait pratiquer harpe et flûte ; le sot critiquait ma façon de placer la harpe entre mes jambes et celle de tenir l’instrument à vent contre mes lèvres, alors que mon cousin me disait la plus talentueuse pour écarter mes jambes sous lui et prendre son instrument à lui dans ma bouche. Ensuite, je prétendais aimer flâner dans la galerie puis dans la serre avant de rejoindre le petit salon du premier étage où ma gouvernante m’attendait pour la broderie.
    
    En réalité, je courais jusqu’à un réduit obscur où m’attendait mon cousin. Debout, je me pliais face au mur, l’aidant à relever robes et jupons. Il m’enfilait presque tout de suite, son braquemart raide pénétrant mon oeillet, et s’activait puissamment en moi. J’avais compris comment le faire venir vite : je me contractai sur son membre (je l’entendais alors haleter violemment, se retenant de gémir) jusqu’à ce que son foutre gicle et me remplisse. Il se retirait ensuite, j’essuyais hâtivement son plaisir qui ne manquait de couler de mon anus. J’eusse aimé le garder un peu sur moi, mais l’odeur âcre eût été révélatrice de notre faute.
    
    Parfois, il préférait me mettre à genoux et répandre son plaisir sur mes lèvres, après m’avoir vigoureusement vergé la bouche : j’avais appris à mieux accepter la longueur de son membre ...
«12...891011»