1. La Vie de Solange, ou les mémoires de la Comtesse de *** (1)


    Datte: 24/06/2019, Catégories: Hétéro Auteur: Mir, Source: Xstory

    ... son gland et m’attardais sur le méat. Je finis par l’engloutir avec délice et entamer un léger mouvement, sans oser le prendre complètement dans ma bouche.
    
    Il me laissa faire quelques minutes puis se retira, la verge pourtant bien érigée.
    
    Je le regardai, toujours agenouillée, perplexe et déçue. Lui aurais-je déplu ? Il me sourit.
    
    - Vous êtes absolument parfaite, ma cousine ; il semblerait que vos aptitudes naturelles au plaisir rendent mon instruction inutile.
    
    Je me figeai, interdite.
    
    Il s’agenouilla à mes côtés.
    
    - Inutile… Du moins dans le domaine de ce que nous nommons fellation, ce délice que me procurent vos lèvres et votre langue. Toutefois, j’aimerais davantage vous instruire dans une autre forme de plaisir, si vous l’acceptez.
    
    Je ne pus m’empêcher de sourire.
    
    - Mon cousin, tout ce que vous pourrez m’apprendre est bienvenu ; mon futur époux ne sera que plus satisfait si je suis mieux en mesure de le contenter.
    
    - Acceptez-vous donc de me laisser conduire la suite ?
    
    Je ris.
    
    - Bien sûr, pourquoi insister ainsi ?
    
    - Hum, vous verrez… Certaine, donc ?
    
    - Il suffit mon cousin, je le veux, voilà tout. Cessez de me prendre pour une mijaurée et instruisez-moi vite.
    
    Il se tut et, le regard brillant, m’allongea sur le ventre, me dénuda jusqu’aux hanches en relevant ma robe et mes jupons jusqu’à ma tête, écarta mes fesses et plaça l’extrémité de son phallus contre mon œillet. Je tentais de le repousser : j’avais entendu les servantes que ...
    ... j’écoutais, cachée en cuisine, insister sur le terrible péché que constituait cet acte (ce dont, en libre penseuse, je me moquais bien), et surtout la douleur qu’il provoquait. Mon cousin insista, chuchotant :
    
    - Ne craignez rien, vous allez apprécier ce moment.
    
    Prisonnière de ma robe relevée qui gênait les mouvements de mes bras et m’étouffait un peu, entourée de mes jupons volumineux, je n’avais guère de choix. Je finis par le laisser faire. Sentant ma résistance cesser, il s’appuya franchement sur moi et me pénétra. La douleur se révéla fulgurante. Je me retins de crier : mon corps transpercé me paraissait en feu, il me semblait qu’il m’avait planté non son braquemart mais un cruel poignard. J’avais placé mes mains sur ma bouche pour ne pas crier.
    
    Je croyais que mon supplice était accompli, mais non… Mon cousin ne m’avait enfoncé qu’une partie de son vit, je le compris lorsque je le sentis pousser, écartant mes chairs endolories, son dard me déchirant alors que mes fesses le sentaient coulisser en moi. La pénétration fut longue : mon corps peinait à accepter son sexe, énorme et long comme j’avais pu le constater lors de la fellation ; je souffrais sous la dilatation. Au bout que quelques minutes toutefois, je sentis avec soulagement ses bourses contre ma peau : il m’avait entièrement emmanchée.
    
    Il resta ainsi un moment ; la douleur se calma. Il haletait.
    
    - Ma cousine, vous êtes divinement étroite… Je sais que vous souffrez, mais vous apprendrez bien vite à goûter ...
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