Isabelle
Datte: 09/06/2019,
Catégories:
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
rasage,
Oral
fsodo,
init,
fantastiqu,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... lança :
— C’est pour la gloire de Primel ?
Isabelle hocha timidement la tête.
— Ton nom, dit l’homme alors que le page se courbait et ajustait sur son dos une planche de bois sur laquelle reposaient un parchemin et une plume.
— Isabelle Mulot.
— Ton village d’origine ? demanda l’homme en plongeant la plume dans un encrier tenu par le jeune servant.
— Arriville.
— Ton âge ?
— J’ai dix-huit ans, monsieur.
— Le métier de ton père ?
— Agriculteur.
Isabelle ne comprenait pas pourquoi on lui posait toutes ces questions, mais s’y plia de bonne grâce. Après tout, ça n’était pas des questions trop dérangeantes.
— Tu es pure ? demanda alors l’officiel.
— Oui, monsieur, répondit Isabelle, se demandant si quiconque viendrait ici sans l’être.
— Pas encore mariée ? insista l’officier.
— Non, monsieur.
— Pas assez propre pour ça, murmura l’intendant, suffisamment fort toutefois pour qu’Isabelle entende.
Elle rougit de la tête aux pieds, n’osant répondre à ce notable, tandis que les deux nobles souriaient.
— Bien, finit par dire l’officiel alors que le page se relevait. Entre ici, nous allons vérifier que tu n’as pas menti puis tu seras amenée devant notre seigneur et maître, après t’avoir rendu un peu plus présentable, cela va de soi…
Isabelle ne comprit pas un traître mot de ce que le notable venait d’annoncer. Le page la fit passer la porte, qui se referma derrière elle avant même qu’elle n’ait compris quoi que ce soit. Elle se retrouva dans une pièce ...
... relativement petite, une sorte d’antichambre. Deux gardes étaient postés de part et d’autre de la porte et une femme installée dans un fauteuil se leva et s’approcha d’elle. Cette femme ne donnait vraiment pas envie qu’on s’approche d’elle. Vieille, ridée, les yeux rapprochés et terrifiants, des mains fourchues, un nez crochu, un visage dur et sévère. Isabelle baissa les yeux en tremblant, ne comprenant pas ce qui se passait. La vieille la fit avancer d’un pas afin qu’elle monte sur une petite estrade de bois la surélevant par rapport au reste de la pièce. La vieille dame se plaça alors devant elle et souffla :
— Je vais te préparer à voir notre seigneur et maître. D’abord, je vais vérifier que tu es bien pure. Remonte ta jupe et écarte les cuisses.
— Quoi ? s’exclama Isabelle en reculant d’un pas, descendant par la même de l’estrade.
— Tu peux toujours partir, répliqua la vieille. Tu ne croyais tout de même pas que nous te croirions sur parole ?
Isabelle ne s’était pas imaginé une seule seconde qu’on aurait pu ne pas la croire. En y réfléchissant, elle se dit qu’elle avait été stupide. Évidemment qu’ils vérifieraient, sinon, toutes les femmes du pays se déclareraient pures. Isabelle remonta sur la plaque.
— Bien, maintenant, relève ta jupe.
Isabelle se tourna vers les gardes qui la mataient sans sourciller. Ils ne comptaient visiblement pas détourner les yeux.
— Dépêche-toi ! s’exclama la vieille. Je n’ai pas que cela à faire !
Isabelle releva sa jupe ...