Isabelle
Datte: 09/06/2019,
Catégories:
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
rasage,
Oral
fsodo,
init,
fantastiqu,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... venaient, se promenant à pied ou à cheval, entrant ou descendant parfois de sublimes voitures tirées par des chevaux de qualité. Elle s’amusait à regarder la ronde des nobles, emplissant ses yeux des étoffes qu’elle ne pourrait jamais s’offrir. Elle sourit en contractant son ventre, sentant à l’intérieur la petite pièce dorée. Avec cet argent, elle pourrait s’acheter une de ces robes, mais ça serait du gaspillage. Ils en avaient besoin pour la ferme. Il était hors de question de la gaspiller dans de telles niaiseries. Isabelle en était consciente, mais ne s’empêcha pas pour autant de rêver. Le serviteur qui entra ne posa même pas ses yeux sur elle. Il agit comme si elle n’existait pas, ramenant le plateau à la cuisine, nettoyant le sol, changeant les draps, tapant les tapisseries, remettant de l’eau propre dans la bassine servant à se laver succinctement le matin. Il resta un long moment sans jamais que son regard ne tombe que la jeune paysanne et lorsqu’il ressortit, Isabelle se demanda s’il avait même remarqué qu’elle était là. La jeune femme regarda alors le lit. Oserait-elle monter dessus pour se plaire dans son moelleux ? Elle en avait envie, mais soupira. Le serviteur venait de le faire. Si elle se mettait dessus, cela se verrait. Non, elle ne pouvait pas. Elle oublia son envie et continua à regarder les nobles aller et venir dans l’immense jardin, admirant les ombrelles, les chapeaux et les gants de soie. Elle resta ainsi à les contempler jusqu’à ce que le soir tombe ...
... et que le noble revienne dans la pièce. Elle attendit sans bouger. Il déposa sa veste puis la regarda et annonça d’un ton calme :
— Agenouille-toi lorsque j’entre dans la pièce.
Isabelle se mit docilement en position.
— Tu as faim ?
— Non, mon seigneur et maître. J’ai mangé à midi plus que dans toute ma vie. Je n’ai pas encore fini de tout digérer.
La réponse le fit sourire.
— En ce cas…, viens par ici.
Elle se releva.
— Non, dit-il, une chienne avance à quatre pattes.
Elle se remit à genoux puis dans la position demandée et s’avança vers lui ainsi. Elle ne se sentait pas humiliée, juste dégoûtée par ce porc suffisant qui croyait pouvoir tout obtenir parce que sa bourse était pleine. Lorsqu’elle fut à ses pieds, il s’accroupit et souffla :
— Il y a une chose dont je voudrais m’assurer avant de continuer.
Isabelle leva un sourcil interrogateur. Il la regarda dans les yeux puis lança :
— Tu sais ce que tu es, n’est-ce pas ?
Isabelle n’était pas sûre de comprendre la question. Ce qu’elle était ?
— Tu sais ce que j’ai fait de toi…
Là, c’était plus clair. Elle lui envoya un regard noir en réponse.
— Oui, tu le sais, mais je veux en être sûr, alors tu vas devoir le dire à haute voix. Dis-moi ce que tu es, petite chienne. Dis-le clairement et ouvertement. Crache-moi au visage la seule chose qui te fait te prosterner ainsi devant moi et t’offrir. Allez, je veux te l’entendre dire.
Isabelle baissa les yeux.
— Une pièce contre cette ...