1. Isabelle


    Datte: 09/06/2019, Catégories: fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral fsodo, init, fantastiqu, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... maintenant alors que moins de dix minutes plus tôt, elle en avait deux de plus ? Elle le sentit l’essuyer succinctement puis la détacher. Il la retint, car elle eut du mal à se tenir debout. Il la coucha sur un tapis de l’autre côté du lit, la recouvrit d’une couverture chaude puis souffla :
    
    — Tu peux dormir. Tu en as bien besoin. Repose-toi et n’aie crainte, personne ne viendra te déranger ici.
    
    Isabelle ne s’était jamais sentie aussi fatiguée, même après une journée au champ. Elle s’endormit immédiatement.
    
    Elle fut réveillée par une sublime odeur de nourriture. Elle ouvrit les yeux et découvrit son client, attablé, en train de déjeuner. Il la regardait en souriant.
    
    — Bien dormi, petite chienne ?
    — Oui, mon seigneur et maître.
    — Tu as faim ?
    — Oui, mon seigneur et maître.
    — Approche.
    
    Elle se leva, laissant la couverture traîner par terre et s’avança vers lui. D’un geste, il lui fit comprendre qu’elle devait s’agenouiller à ses côtés. Elle obéit, se mettant dans la position qu’elle avait apprise la veille. Il prit un morceau de viande qu’il plaça dans la paume de sa main et qu’il tendit vers elle. Lorsqu’elle retira ses mains de son dos pour s’en saisir, il retira sa main en la regardant dans les yeux. Elle comprit ce qu’il attendait d’elle. Elle remit ses mains en place et mangea dans la main tendue.
    
    — C’est ainsi qu’une chienne mange, dans la main de son maître, dit-il.
    
    Isabelle ne répondit rien, se sentant plus humiliée que jamais. Régulièrement, ...
    ... il passait une main dans cheveux, comme un maître caressant son animal de compagnie. Le repas fut cependant agréable. Isabelle n’avait jamais rien mangé d’aussi bon et surtout, elle eut droit à une quantité illimitée de viande alors que, paysanne pauvre, elle ne mangeait habituellement que du gruau de blé et d’avoine avec un peu de pain. Ici, chaque plat contenait des épices sublimes, de la viande, des légumes divinement cuisinés. Elle put goûter des fromages délicieux et des desserts sucrés qui ravirent ses papilles, le tout arrosé d’un vin léger, délicat et subtil. Le noble ne restreignit absolument pas la quantité, lui en offrant autant qu’elle le souhaitait, si bien qu’elle finit par en avoir mal au ventre à force d’en manger autant, elle qui était peu habituée à une nourriture à foison.
    
    Lorsque le repas fut terminé, le noble lança :
    
    — Je vais te laisser. J’ai du travail. Ne quitte pas la chambre. Tu serais en danger dehors.
    
    Elle hocha la tête, comprenant parfaitement la nature du danger en question.
    
    — Un serviteur viendra chercher le plateau et nettoyer la chambre, mais il ne te touchera pas, ou alors seulement des yeux. Contente-toi de le laisser agir sans le gêner.
    — Bien, mon seigneur et maître.
    
    Il se leva alors et sortit, laissant la jeune femme seule. Isabelle resta longtemps dans la chambre avant que le serviteur n’arrive, mais elle ne s’ennuya pas, car depuis les fenêtres, elle voyait le jardin où des belles dames et de beaux seigneurs allaient et ...
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