Une p'tite étudiante au bar, le soir... (1) - Histoires de Sexe

Une p'tite étudiante au bar, le soir... (1)

... avec.

J’m’annonce bien en frappant à la porte, histoire de limiter les risques :

— C’est Python, que j’grogne avant de me nettoyer les tuyaux avec une nouvelle gorgée de whisky.

J’entends un mouvement derrière la porte. Elle est là, mais elle hésite.

— Qu’est-ce qui me prouve que c’est toi, Python ?

Merde, la gamine est pas finaude…

— Allez, p’tite, fais pas chier. On a tous les deux passé une soirée de merde et j’ai pas envie de la finir devant ma putain de porte. Ouvre, ça m’ferait chier de la défoncer.

Elle s’exécute, brave petite Lola.

Quand elle apparaît dans l’encadrement de la porte, je réalise que j’ai minimisé le bestiau en fantasmant sur la route : elle est encore sacrément plus bonne en vrai !

Qu’est-ce que j’donnerais pas pour m’envoyer une fille comme elle…

Elle a l’air rassurée de voir que c’est moi, et j’me dis que j’aurais dû mettre un judas à ma porte pour lui éviter ce genre de frousse. En même temps, c’est pas le monde qui venait me voir… J’entre en posant ma bouteille sur le meuble d’entrée, mais je sais pas trop ce que je dois dire à la môme. Merde, qu’est-ce que je peux bien lui dire, de toute façon ? Le mec est mort, mais on le sera bientôt aussi. Et elle le sait très bien.

— On s’est fourrés dans un sacré merdier, p’tite !

Elle répond pas. Elle sait pas plus quoi dire que moi. J’lui propose d’aller prendre une douche pour se changer les idées, et elle accepte. Très bien, ça va me permettre de réunir les ...

... miennes.

Après ce qui s’est passé, de combien de temps je dispose ? Au moins la nuit, ne serait-ce que le temps que ses potes se rendent compte qu’il a disparu. Très bien, c’est plus qu’il n’en faut. Je commence à échafauder un plan, mes méninges tournent à toute allure. Elles en ont pas l’habitude.

La gamine ressort vingt minutes plus tard, nue comme au jour de sa naissance. J’voudrais jouer au mec bien, me souvenir que c’est la fille de mon pote et détourner le regard, mais rien à faire. Tout ce que je vois, c’est une putain de déesse aux courbes parfaites, à poil devant moi. J’peux pas faire autrement que la reluquer.

Ses nichons sont gros, lourds, mais fermes et bien en place. C’est le bon côté d’avoir son âge ! Son p’tit ventre est tout plat, mais ses hanches s’évasent pour lui faire un cul bien comme il faut. Cette fille est taillée dans le marbre ; c’est pas possible d’être aussi bien roulée ! J’voudrais réagir, faire n’importe quoi plutôt que la mater comme un vieux débile, la bouche ouverte sous le coup de la surprise et de l’envie de la déglinguer.

Merde, ferme la bouche au moins, vieux Python. Tu vas pas te mettre à baver non plus !

Le temps que j’reprenne suffisamment mes esprits pour au moins me recomposer une dignité, Lola est déjà juste devant moi. J’avais les yeux tellement fixés sur ses nichons que je me suis à peine rendu compte qu’elle avançait vers moi.

Et son sourire… il me fait complètement vriller, son sourire.

La petite tire sur ma braguette, ...