Une p'tite étudiante au bar, le soir... (1) - Histoires de Sexe

Une p'tite étudiante au bar, le soir... (1)

... et avant que j’comprenne ce qu’elle essaie de faire, elle a déjà sorti ma bite de mon calbute et s’est accroupie devant moi. Je rêve ou quoi ? Cette déesse, le genre de fille qu’on voit qu’en couverture des magazines, à poil devant moi, prête à me tailler une pipe ?

Faut qu’je prenne mes médocs, je délire…

Pourtant, si c’est un rêve, c’en est un bon : Lola enroule sa langue autour de ma queue et commence à me pomper bien comme il faut. Putain, elle a beau être jeune, je jurerais que c’est pas la première fois qu’elle suce un mec ! Elle sait s’y prendre, à tel point que je m’demande encore une fois si c’est pas une pute.

Y’a que les putes qui sucent aussi bien !

Je la laisse s’escrimer un peu sur ma queue, sans bouger ; j’crois bien que j’vais pas tarder à exploser. J’la mate quand même un peu pendant qu’elle bosse : ce serait dommage de rater le spectacle. Voir sa petite bouche toute fine, toute innocente, aller et venir sur ma tige a quelque chose de fascinant. Pour un peu j’pourrais pioncer, si j’étais pas aussi excité.

Mais d’un coup, tout s’arrête.

Quoi, Lola, qu’est-ce qui se passe ? Tu peux pas me faire ça ! Tu peux pas t’arrêter au milieu du truc !

Elle me lance un nouveau sourire, ce sourire qui me rend dingue, puis elle se dandine tranquillement jusqu’au plumard. Son sourire quitte pas ses lèvres ; elle m’invite à la suivre.

La suivre, sur mon pieu ?

Déjà qu’elle me suce, c’était inespéré. Mais si elle veut que je la dégomme dans mon ...

... plumard, cette fois c’est clair que j’perds la boule. Pourtant je la suis. Qu’est-ce que j’pourrais faire d’autre ?

Elle me colle mon futal à mes chevilles avant que je puisse lui dire quoi que ce soit, et elle me pousse sur le lit avec ses p’tits bras de gamine. J’ai l’impression que c’est deux petites brindilles que je pourrais casser sans trop d’efforts. C’est sûrement le cas d’ailleurs. J’la laisse faire, pourtant.

Je m’allonge sur mon pieu et je la regarde se dresser au-dessus de moi, nue, fascinante, magnifique. Ma bite est dressée comme elle l’a jamais été, et la petite s’approche pour s’empaler dessus. Je regarde son petit minou s’ouvrir pour laisser entrer mon dard en elle comme au ralenti, émerveillé. Elle commence à onduler sur ma queue, et ses seins ondulent en rythme. Je prends même pas la peine de l’accompagner, je la laisse faire.

Je pensais qu’elle me laisserait la baiser ; au lieu de ça c’est elle qui me baise. Elle me chevauche comme une putain de jument sauvage. Et c’est la meilleure partie de jambes en l’air de ma vie.

Pourtant j’en ai connu, des putes…

Je caresse son corps délicieux avec mes grosses paluches, je lui presse les seins pendant qu’elle me fait atteindre des sommets de plaisir que je pensais jamais connaître dans ma chienne de vie. Je gueule comme un goret en répandant tout le contenu de mes couilles dans son p’tit ventre tout plat de gamine innocente, si innocente…

Innocente, Lola ? Mon cul !

Épuisé, vidé, je m’endors comme une ...