Quelqu'un dans mon genre
Datte: 01/06/2019,
Catégories:
fh,
voisins,
amour,
Oral
nopéné,
Humour
Auteur: Marie Anne & Luc Carois, Source: Revebebe
... secondes ? Je savais que j’avais flashé sur lui, mais j’ignorais qu’il détiendrait un tel pouvoir sur mes sens…
— Tu me rends fou, Sally… halète-t-il contre mon oreille. Laisse-moi te caresser…
Je ne dis rien… Il peut bien penser ce qu’il veut, mon corps entier est une réponse, et frissonne, tremble, suspendu au moindre contact de ses doigts, de ses lèvres… ses lèvres qu’il laisse sensuellement glisser le long de mon ventre.
Avec une douceur infinie, David commence à remonter l’ourlet de ma jupe, lentement, lentement… Au passage, ses doigts frôlent la peau fine de mes cuisses nues, m’électrisant comme une démente. J’en peux plus : je pousse un cri de désir. David se fige un instant. Bien que mon cœur batte la chamade, j’entends très distinctement nos respirations pantelantes qui résonnent dans la petite cave. Je l’attends… et comme dans un rêve, David commence à me faire ce qu’il avait promis, précisément, qu’il me ferait si je virais l’autre con avant minuit…
*
Elle m’a complètement retourné… Son odeur, la douceur de sa peau, de ses mains, de ses cuisses… J’oublie complètement où nous sommes, les raisons pour lesquelles nous y sommes. Je ne songe plus qu’à son corps de déesse, et je m’agenouille devant elle, remontant sa jupe et collant ma bouche contre son sexe. Son string est trempé, elle sent bon, et je commence à lécher délicatement sa chatte au travers, tout en m’enivrant de son odeur.
— Retire ça s’il te plaît, Sally…
Tandis qu’elle s’exécute, je ...
... sens la peau de ses jambes et de ses cuisses qui frôlent mon visage. Je bande comme un taureau, mais pas question de faire ça ici, comme un sauvage, dans cette cave sordide. Alors je lui offre ce que je lui ai promis quelques heures auparavant… Ma langue s’introduit dans son intimité, s’enfonce le plus profondément possible, puis ressort pour caresser lentement, tendrement, sa fente jusqu’au clitoris. Et je lape sa mouille, avidement, comme un mort de soif, accélérant la cadence, ralentissant, caressant ses fesses, toujours à genoux dans le noir. Je la sens frémir de plus en plus et gémir de plus en plus fort. J’ai le visage complètement trempé et les genoux qui commencent à me faire mal. Besoin de changer de position…
— Sally, tu…
— N’arrête pas, bordel ! s’exclame-t-elle en m’empoignant les cheveux et en plaquant mon visage contre sa chatte. Lèche, lèche… plus fort, plus haut…
Je continue, bien obligé.
— Encore… encore… Ouiiii ! Comme ça, continue ! Ouiiii !
Elle a crié comme une possédée. Tellement fort qu’on a dû l’entendre jusque dans la rue… Je sens ses jambes qui tremblent sous mes mains. Je reprends ma respiration. Quelques instants s’écoulent dans un mutisme complet, puis je l’entends prendre une profonde inspiration et murmurer d’une voix tremblante :
— David… Qu’est-ce que tu viens de me faire ?
— Ce que je t’avais promis, ma belle.
— C’est pas un cunni, ça…
— Ah bon… C’est quoi ?
— C’est… Je sais pas… Autre chose, en tout cas…
— Eh bien, tu me ...