La Vie de Solange, ou les mémoires de la Comtesse de *** (2)
Datte: 31/05/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mir, Source: Xstory
... long souffle, au rythme de ma respiration expirante, tandis que le monde s’effaçait autour de moi, tout se réduisant à mon sexe empli, mon corps enflammé, ma bouche embrassant fiévreusement la sienne pour étouffer cette clameur sauvage.
Jamais je n’avais ressenti pareil plaisir, ni sous sa langue, ni sous sa verge me sodomisant. Je m’affaissais sous lui, presque inconsciente, le sentant à peine se tendre, mordre possessivement ma bouche alors qu’il se répandait en moi, m’emplir de foutre chaud, rester allongé sur moi, pantelant.
Je finis par passer mes bras autour de lui. Il me baisa délicatement le visage, le cou, la gorge, léchant mes seins, remontant le long de la clavicule, murmurant son désir pour moi, son plaisir de m’avoir possédée, chuchotant à mon oreille ma beauté, ma grâce, la splendeur de ma jouissance, le bonheur de m’avoir senti jouir, la joie inouïe de pouvoir m’emplir de son plaisir.
Je me laissai faire, savourant la tendresse de ses gestes et de ses mots.
Nous finîmes par nous asseoir, après que je me fus essuyée : un peu de sang perlait au milieu du foutre, nécessairement.
Mon cousin ne se lassait pas de m’embrasser. Quel moment étrange et délicieux… Après des semaines passées à lui offrir ma bouche et mon fondement, à me soumettre à ses assauts souvent sauvages et à aimer me laisser posséder brutalement, voilà que nous découvrions tous deux la tendresse et un plaisir à la fois plus doux et plus intense. Je me blottis contre lui, caressant ...
... sa verge qui recommençait à bander, répondant de plus en plus intensément à ses baisers, guidant ses mains sur mes seins, mes épaules, léchant ses lèvres, gémissant lorsqu’il léchait les miennes ou laissait sa langue effleurer mes seins…
Je finis par me rallonger, jambes écartées. J’entrouvris mes lèvres et pressai mes seins gonflés de plaisir.
- Mon cousin, reprenez-moi, je vous en prie, je vous en supplie, je n’aime rien tant que m’offrir à vous…
Il se replaça au-dessus de moi, sans rien dire. Sa pénétration me fit soupirer.
- Merci… merci…. Encore, encore…
Il s’activa silencieusement et lentement : il me pénétrait profondément, avant de se retirer en plaquant mon bassin au sol ; ensuite il promenait sa bouche sur ma gorge, m’immobilisant de ses mains, délicieuse torture de sa langue sur moi tandis que mon sexe réclamait son membre. Puis il remontait, sa verge érigée glissant à l’intérieur de mes cuisses, pour me pénétrer à nouveau.
Il me soumit à cet exquis supplice un long moment, avant de me tourner sur le ventre. Il m’écarta les jambes et recommença alors à me posséder, mais plus puissamment.
- Êtes-vous vraiment mienne, ma cousine ?
- Oui… entièrement… oh, vôtre, encore, encore… Par pitié, mon cousin, prenez-moi bien !
Il accélérait, m’enconnant plus fort.
- Dites-le, encore, ma cousine, pendant que je vous possède, que je vous fous, que je vous verge…
- Je suis à vous, soumise à votre virilité, oh mon cousin prenez-moi, entièrement, ...