La Vie de Solange, ou les mémoires de la Comtesse de *** (2)
Datte: 31/05/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mir, Source: Xstory
... et se positionna entre mes jambes. Il murmura :
- Vraiment, ma cousine ?
- Vraiment, mon cousin…
Il posa son gland sur les lèvres de mon sexe. Je frémis à ce contact, la douceur intime de sa peau contre la mienne… Il poussa légèrement : son gland écarta mes lèvres et pénétra lentement. Mon sexe trempé l’accueillait, s’écartant pour lui faire passage. Il poussait toujours doucement, en relevant mes genoux et en écartant largement mes cuisses. Je sentis sa hampe coulisser, puis s’arrêter, enfoncée à moitié. Il me fixa.
- Préparez-vous, ma douce cousine, à approfondir vos connaissances…
J’appréhendais cette douleur dont on m’avait parlé à mots couverts, mais la position adoptée et la délicatesse de mon cousin empêchèrent toute souffrance. La sensation de déchirure attendue ne se produisit pas, son vit me pénétra lentement ; un inconfort passager et une pression plus forte m’annoncèrent ma défloration.
Mon cousin s’interrompit.
- Comment cela va-t-il ? J’espère ne pas vous faire souffrir.
- Poursuivez, poursuivez, vous ne me faites que du bien en… approfondissant ainsi…
Il s’enfonça jusqu’au bout, haletant déjà, et s’immobilisa. Ses bourses palpitaient contre moi, son membre pulsatile annonçait un plaisir inhabituellement intense.
- Pardonnez-moi, ma cousine, il va nous falloir attendre un peu, sans quoi je vais venir bien avant vous…
Il se mit alors à mordiller mon oreille puis descendit lentement le long de mon cou, avant de remonter baiser ma ...
... bouche. J’entrouvris mes lèvres ; sa langue darda, pour finalement me pénétrer et s’imposer. Je resserrai ma bouche dessus, comme lorsqu’il y mettait son vit, et bougeai légèrement la tête, mimant sur sa langue la fellation que je lui offrais habituellement. Il gémit et commença à s’activer en moi, harmonisant le mouvement de son vit et de sa langue, me pénétrant doublement.
Je gémissais doucement de plaisir, enserrant sa taille de mes jambes. Mon cousin me possédait avec tendresse, tempérant ses mouvements, me pénétrant lentement en restant attentif à mon souffle, mes soupirs, me baisant délicatement les lèvres, caressant mes seins, effleurant mes tétons de ses doigts. Je ne pensais pas prendre tant de plaisir à l’acte de chair. Je me sentais onduler sous lui, ne parvenant ni ne cherchant à réfréner mon corps qui réclamait davantage.
- Oh mon cousin, foutez-moi, vergez-moi, je suis vôtre, entièrement…
Il accéléra, haletant, me faisant gémir plus fort. De mes talons, je l’incitais à me sabrer plus profondément, agrippant ses épaules. Mon cousin glissa une main entre nous pour caresser mon bouton. J’ahanai, le suppliant de poursuivre. Il continua, me foutant, me travaillant, jusqu’à ce que mon corps m’échappât entièrement. Eperdue, je sentis mes jambes se serrer encore autour de lui, ma gorge se plaquer contre sa poitrine, mes bras l’agripper convulsivement, mon sexe se contracter spasmodiquement, et mon cri… ce cri, puissant, modulé, aigu, mon plaisir hurlé dans un ...