Il est des jours où Cupidon s'en fout
Datte: 02/03/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
cérébral,
intermast,
préservati,
nostalgie,
regrets,
Auteur: Vermeer, Source: Revebebe
... mes avant-bras pour ne pas peser de tout mon poids sur Florence après avoir joui.
J’aurais aimé sentir ma semence couler sans obstacle au fond de son ventre. J’aurais aimé pouvoir sentir la chaleur plus intense encore de son intimité, sentir coulisser le pli de mon frein contre les aspérités de sa chair, sensations qui nous étaient interdites, hélas, avec le préservatif, aussi fin soit-il…
J’aime aussi cette communion au plus profond que l’on ressent lorsque l’on entre dans une femme sans cette protection. Il y a un je-ne-sais-quoi d’animal à cette fusion des chairs, à ce contact sans barrières, à ce mélange des humeurs de l’homme et de la femme au fond du creuset brûlant et humide de la vulve. L’odeur des jus intimes mêlés qui envahit alors l’air éveille en moi un instinct primordial, et je ne ressens pas de dégoût mais au contraire cela me suffit pour que le temps de repos entre le premier et le deuxième coït ne dépasse pas quelques minutes. J’aime alors pénétrer de nouveau ma partenaire, parfois surprise de ce deuxième assaut si rapide, et sentir mon membre bouger dans le fourreau inondé dans un bruit de succion.
Il y a quand le membre se retire un autre plaisir, celui d’assister au spectacle venu du fond des âges de sa propre semence qui s’écoule, blanche et visqueuse, entre les lèvres roses, leur pourtour orné d’une auréole luisante et glissante. Le sexe de la femme est beau après l’amour, et avec beaucoup de chance, on voit parfois les grandes et les petites ...
... lèvres s’épanouir vers l’extérieur, et prendre la forme des pétales d’une rose ou d’une orchidée.
En ce qui me concerne, je sais sans doute possible pourquoi ces deux fleurs évoquent la passion la plus intense, car je vois dans les irrégularités des boutons de rose, dans l’ouverture progressive de la fleur, l’image fidèle du joyau que toute femme porte entre ses jambes.
J’ose le dire : quand je choisis des roses pour mon aimée chez le fleuriste, j’achète celles qui ressemblent à un sexe de femme puisqu’elles m’aident de leur langage muet à exprimer mon désir.
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J’entendais son souffle dans mon oreille, et je sentais distinctement le fourreau de son vagin se contracter plusieurs fois. Voulait-elle ainsi volontairement pomper mon jus plus complètement encore ou bien prenait-elle aussi son plaisir ? Quand je lui demanderai un peu plus tard, elle se contentera de me donner un petit baiser et de me sourire.
Je restai quelques secondes encore soudé à son bas-ventre, puis je me retirai, d’une main j’enlevai le préservatif qui finit par terre. Mes bourses étaient gluantes.
Une fatigue soudaine nous envahit, et je m’allongeai à son côté. Comme seule caresse, je passai mon bras sous ses épaules – oh non, j’espère que mon déodorant tient les promesses qu’ils font à la télé, elle a le nez presque sous mon aisselle et après l’effort et l’excitation, je regrette de ne pas sortir de la douche.
Mon sexe est retourné à son état normal après le paroxysme des derniers ...