1. Il est des jours où Cupidon s'en fout


    Datte: 02/03/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail cérébral, intermast, préservati, nostalgie, regrets, Auteur: Vermeer, Source: Revebebe

    ... règle.
    
    Ses jambes étaient plus levées encore, et tout d’un coup je sentis sa chaleur enrober d’abord le bout de ma verge, et comme c’est elle qui me tenait, elle fit rapidement entrer mon membre entièrement sans trop me laisser le loisir de prendre le temps de goûter au plaisir de cette première pénétration. J’aurais aimé sentir les parois de sa vulve entourer progressivement ma virilité, sentir sa chaleur et son humidité, me sentir glisser dans sa fente qui m’accueillait.
    
    Florence poussa un soupir étouffé, une sorte de plainte quand elle sentit ma chair entrer dans sa chair. Je m’affalai sur elle, et cherchai sa bouche. J’étais terriblement excité, je craignais de ne pas tenir longtemps et je ne voulais pas trop bouger. Mais Florence commença à compenser sa position sous moi – plutôt passive en apparence – par des mouvements latéraux presque circulaires du bassin. Elle avait sa tête dans mon cou, me serrait maintenant de ses bras, qu’elle passa sous mes aisselles et prit mes clavicules dans ses mains crispées. Avec un minimum de force, elle pouvait m’attirer sur elle et renforcer notre union.
    
    Je faisais avec mon bassin de petits mouvements – tout en restant presque entièrement collé à son ventre, qui d’ailleurs était loin d’être immobile. Mon souffle était plus intense, et je sentais déjà monter la jouissance, que je voulais retarder.
    
    La chatte de Florence frottait mon sexe sur la droite et la gauche de la hampe, je sentais le fond de son ventre mordre mon ...
    ... gland, et nos torses collés l’un à l’autre commençaient à suer. Je me soulevai de nouveau sur les avant-bras et en les faisant glisser sur le côté, je fis glisser la couette. Un peu d’air d’abord, qui fit une impression de fraîcheur immense quand nos poitrines ne se touchèrent plus, et je descendis la bouche sur ses seins de nouveau, et l’embrassai tant bien que mal car ce n’est pas la position idéale pour cela.
    
    Mes hanches firent un aller-retour plus classique et je savourai la sensation délicieuse de sentir la longueur de mon membre (qui est très normal mais que je sentais immense et d’une dureté inimaginable ce soir-là tant mon excitation était grande) se glisser hors d’elle et y plonger à nouveau. Je ressortis presque entièrement avant de replonger et de retomber sur elle. Florence continuait ses mouvements latéraux mais passa à un mouvement presque circulaire et lança son bassin à ma rencontre avec une petite plainte. Le lit grinçait un peu – ah bon ? – en ce qui me concerne je ne m’en suis aperçu qu’à ce moment-là.
    
    Mon sexe était de nouveau enfoncé jusqu’à la garde. Ses mouvements latéraux finirent de m’achever, et je voulus lui dire que je jouissais mais je n’arrivai qu’à un râle étouffé que je glissai dans son cou, accompagné d’une petite goutte de salive qui heureusement alla sur l’oreiller et pas sur elle.
    
    Mon sexe fut secoué de plusieurs spasmes et je fis encore quelques petits allers-retours en geignant doucement dans son cou et je recommençai à m’appuyer sur ...