1. Il est des jours où Cupidon s'en fout


    Datte: 02/03/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail cérébral, intermast, préservati, nostalgie, regrets, Auteur: Vermeer, Source: Revebebe

    ... mis à genoux pour lui rendre la tâche plus facile tellement j’avais envie de sentir sa main sur moi.
    
    Elle prit ma verge dans sa main, toucha mon gland tout humide d’excitation, fit un ou deux mouvements du poignet, et termina de le dénuder.
    
    Dérouler un préservatif dans le bon sens et dans le noir demande une certaine habitude mais j’y arrive bien maintenant. Je m’allongeai à nouveau sous la couette et glissai ma main droite vers son entrejambe. Moi aussi j’avais envie de la toucher, de caresser son intimité.
    
    Par modestie, elle avait de nouveau collé ses cuisses l’une contre l’autre mais quand ma main toucha le bas de son ventre et les premiers poils de sa toison, elle relâcha sa garde et me laissa poser ma main sur son buisson. Je suppose qu’elle l’ajustait de temps en temps car les poils étaient un peu drus, mais pas très courts.
    
    Je glissai ma main plus bas et sentis que sa vulve était gonflée, entre mes doigts les lèvres sortaient largement à ma rencontre, et Florence avait déjà mouillé abondamment. Je savourai ce moment, et mon majeur se glissa entre ses lèvres. Florence avait de nouveau agrippé mon sexe et le serrait fort dans la paume de sa main, sensation en fait assez peu agréable car le préservatif, même lubrifié, accrochait à sa main sans glisser vraiment.
    
    Mon majeur était entre ses lèvres, mais je me gardais d’en forcer l’entrée. De la paume de la main, je tentai d’imaginer son buisson et je trempai deux doigts dans sa mouille qui était ...
    ... délicieusement gluante, ses grandes lèvres étaient lubrifiées, j’aurais préféré avoir pu lui enlever sa culotte moi-même. La dernière phalange de mon majeur tapotait doucement l’entrée de son vagin sans y entrer et Florence se tendit toute entière. Je sentis le petit clapotis de mon doigt trempé et la petite ventouse que provoquait mon geste. Dans ma tête, j’imaginais ce petit bruit que je ne pouvais entendre sous la couette et cela augmenta encore mon désir.
    
    Elle me dit alors :
    
    — Entre, entre maintenant.
    
    Je m’allongeai entre ses cuisses, qu’elle avait de nouveau écartées et elle leva un peu les genoux. Avant d’entrer en elle je lui dis :
    
    — Je suis très excité, je ne sais pas si je vais pouvoir tenir longtemps.
    — Viens, ça ira.
    
    Je m’appuyai sur les mains au-dessus de ses épaules, plaçai mes genoux en levant un peu plus ses cuisses, puis je sentis ses doigts sur ma verge qui commençaient à me guider vers elle. J’ai toujours aimé cette attention souvent inutile, elle me procure la sensation que ma partenaire veut hâter l’instant, qu’elle désire vraiment cette fusion charnelle.
    
    C’est un geste simple, mais en même temps un tel appel, un cri du désir de la part de la femme aussi puissant que le soupir, le souffle haletant, la pression de leurs mains lorsqu’elles prennent leur plaisir. Pour tout homme, se sentir désiré, sentir la sincérité sortir du cœur de la femme qu’il tient dans ses bras rajoute à son propre désir et multiplie sa puissance. Je n’échappe pas à la ...
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