La sorcière polonaise et le toucan
Datte: 18/05/2019,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
fdanus,
fsodo,
extraconj,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... lentement sur elle-même, on découvrit un splendide maillot de bain, blanc immaculé, cerclé au niveau du nombril de deux bandes rouge vif.
Je pense qu’elle entendit Antoine me susurrer qu’une taille supplémentaire ne lui aurait pas fait de mal. Marie-Jo trouva comme les autres que l’eau était frisquette mais, comme elle voulait étrenner le maillot, on ne se retrouva qu’à deux pour la baignade.
Elle nageait une brasse laborieuse, avec des mouvements trop rapides et la tête hors de l’eau, pour ne pas se mouiller les cheveux. Elle me demanda de ne pas m’éloigner d’elle car elle n’était pas bonne nageuse. Je la suivis donc, dans une lente brasse coulée, avec mes lunettes de natation. Je faisais un mouvement le temps qu’elle en faisait trois. À mesure qu’elle avançait, sous l’eau, j’observais un phénomène textile assez amusant : le maillot de bain devenait transparent, le fin tissu collant à ses grosses fesses. En fait, au bout de dix mètres, Marie-Jo nageait quasiment nue. Quelle croupe ! Deux cuisses imposantes et musclées, séparées par un sillon sombre, parfaitement dessiné. En me synchronisant sur le mouvement de ses jambes, au moment où elle les écartait, je plongeais la tête sous l’eau.
Quel spectacle ! La foufoune, dodue à souhait, bordée de ses deux bourrelets, était moulée sur le tissu. Comme la fente avait absorbé un peu le textile, la chatte, dans son intégralité, éclatait sous l’eau, illuminée par le soleil. Pour éviter une émeute à sa sortie de la baignade, ...
... je me permis de signaler à ma copine son infortune, tout en la félicitant d’avoir la plus belle croupe de la station balnéaire. Marie-Jo ne me crut pas car j’étais quelquefois assez farceur. Ce n’est qu’en regagnant la rive et quand sa poitrine émergea de la mer, qu’elle poussa un cri d’horreur. C’était nettement plus réaliste qu’un concours de tee-shirt mouillé car le tissu était beaucoup plus fin. Les seins érigeaient leurs tétons durcis par l’eau fraîche, au centre d’une aréole brune et boutonneuse. Elle m’obligea à aller chercher deux draps de bain pour s’envelopper dedans et oser rejoindre notre groupe, au milieu des autres plagistes étonnés de sa tenue. On se permit de la chambrer un peu d’avoir cru sur parole le commerçant qui, visiblement, lui avait refilé une contrefaçon. Antoine se montra cruel quand elle disparut derrière un buisson, avec Solange, pour se changer :
— Est-ce que je dois prévenir Varsovie qu’une de leurs compatriotes de cœur va mettre le drapeau polonais en berne ?
Inutile de préciser que Marie-Jo ne lui adressa pas la parole lors de la soirée. Cette soirée fut pour moi celle des désillusions et la preuve que je ne connaissais pas grand-chose à la psychologie féminine… D’abord, Solange refusa poliment que j’aille lui faire mes adieux le lendemain, pendant la sieste de son mari. Elle me remercia de lui avoir fait passer une charmante après-midi, mais elle se sentait depuis horriblement fautive et elle préférait qu’on en reste là.
Le coup de ...