1. La sorcière polonaise et le toucan


    Datte: 18/05/2019, Catégories: fh, fagée, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral fdanus, fsodo, extraconj, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    Il ne restait qu’une dizaine de passagers à attendre l’enregistrement de leurs bagages : vol RyanAir, destination Gérone, Costa brava. Marie-José me précédait en tenant tendrement la main de son mari. Après bientôt trente ans de mariage, elle était encore amoureuse. Pour son mari, je serais peut-être plus réservé, mais je pouvais me tromper ! Notre couple, lui, avec la même ancienneté matrimoniale, n’avait pas survécu. J’étais séparé de mon épouse depuis plus d’un an. Ma foi, on ne s’en portait pas plus mal ni l’un ni l’autre.
    
    En ce début de juin, Marie-Jo portait déjà une tenue estivale : une tunique fuchsia, tirant sur le mauve, sa couleur favorite, qui débordait sur son bermuda blanc, très moulant. Chaque fois qu’elle inclinait le buste pour saisir sa petite valise et l’avancer, quand un enregistrement de bagages était terminé, la tunique dévoilait la croupe majestueuse de ma copine. Les deux sphères étaient certes volumineuses mais parfaitement rondes. Curieusement, la taille de Marie-Jo était assez fine, pas du tout proportionnelle à ce qu’il faut bien appeler son gros cul… splendide, majestueux, féerique, objet de tous mes phantasmes depuis belle lurette. Le tissu tendu laissait apparaître les contours de sa petite culotte, de grande taille, ainsi que le fond renforcé de celle-ci, fort peu esthétique ma foi.
    
    La copine de mon ex était devenue aussi la mienne au bout de vingt ans de relations amicales chaleureuses. Elle faisait un peu bobonne au foyer, très ...
    ... rigoureuse sur certains principes, mais elle était chaleureuse et rigolote. Antoine, son mari, était un gars gentil mais sans beaucoup de personnalité, inexistant et presque toujours muet dans les nombreuses bouffes qu’on s’était faites ensemble depuis qu’on était amis.
    
    À mes côtés, un couple de petits vieux, bien propres sur eux, essayait de raisonner une petite fille qui voulait récupérer sa poupée dans le sac de sa mamie. Rien n’y fit ! La brave dame ayant des problèmes avec la fermeture éclair de son gros sac de voyage, je décidai de l’aider, pour tirer avec plus de force sur la languette. Accroupie face à moi, la mamie bloquait le sac et moi je tirais la languette lentement pour ne pas faire éclater la fermeture récalcitrante. Ses jambes étaient parfaitement galbées avec des chevilles fines, entravées par les longs lacets croisés d’espadrilles à talons. Absorbée par le problème, la sexagénaire n’avait pas conscience que, accroupie en face de moi, sa position était indécente à l’extrême.
    
    Elle avait certainement peur de la canicule espagnole car la petite culotte, vert amande douce, était constituée d’un maillage large et aéré, qui ne dissimulait rien de son minou. On voyait le triangle d’une toison presque grise, un peu clairsemée, surplomber une fente courte hérissée de crêtes sombres.
    
    Quand elle se rendit compte que je profitais honteusement de la vue panoramique de son intimité, elle referma les jambes, juste un peu gênée. Elle garda son gentil sourire pour me ...
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