1. La sorcière polonaise et le toucan


    Datte: 18/05/2019, Catégories: fh, fagée, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral fdanus, fsodo, extraconj, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... changerais d’avis.
    
    En septembre la boîte de Marie-Jo lui proposa un faux licenciement économique. Officiellement, elle était au chômage. Officieusement, comme elle était cadre, elle était partie avec une grosse prime et sa voiture de fonction. Pour fêter sa retraite anticipée, elle fit une grande fête chez elle. La sœur de son père fut invitée. Une vraie Polonaise, de Cracovie, qui vint accompagnée seulement de sa fille car le mari de celle-ci n’avait pu se dégager de ses obligations professionnelles.
    
    La cousine de Marie-Jo, travaillant dans l’import-export, parlait français avec un accent savoureux. Agnieszka était souriante avec des joues roses de nourrisson. Courte sur pattes, un peu dodue, elle affichait des rondeurs intéressantes aux bons endroits. Comme la maman âgée était handicapée et se déplaçait avec une canne, Marie-Jo me demanda d’héberger, une nuit seulement, la mère et la fille, car j’habitais un plein pied sans escalier.
    
    Pour que la fête de Marie-Jo soit parfaite, tout le monde y mit du sien. Les invités furent aux petits soins pour les deux authentiques Polonaises. Alors que je les ramenais chez moi, vers vingt-trois heures, Agnieszka me fit une remarque surprenante. Elle s’étonnait que les Français se soient montrés si réservés et sages lors de la nouba. À Cracovie, elle, son mari et leurs amis ...
    ... organisaient des fêtes régulièrement, après tout on n’avait qu’une vie ! Chez eux, on chantait, on dansait, on buvait aussi, les femmes autant que leur mari. Souvent, racontait Agnieszka, quand tout le monde était bien imbibé, la maîtresse des lieux profitait d’un privilège depuis longtemps établi entre eux. Elle montait sur la table, se débarrassait de ses vêtements et jetait sa petite culotte à celui qu’elle avait choisi pour l’accompagner dans sa chambre. Après, des couples improvisés s’esquivaient dans des coins tranquilles.
    
    En tout état de cause, ou bien Marie-Jo était une exception intégriste de la mentalité de ses joyeux congénères, ou bien elle s’était ouvertement foutue de moi.
    
    En sortant de la salle de bain, Agnieszka m’attendait. Souriante, elle tourna sur elle-même pour me faire admirer le string qui était son seul vêtement. Le minuscule triangle de tissu rose et sa ficelle qui vagabondait entre deux grosses fesses moelleuses ne pouvaient pas laisser un honnête homme indifférent.
    
    Quelques mois après, on m’apprit que Marie-Jo, avec sa cagnotte du licenciement, s’était fait refaire le nez, dans une clinique parisienne.
    
    Comble de l’ironie, cette épouse exemplaire qui glorifiait le sens de la Famille avait eu le coup de foudre pour un aide-soignant de la clinique. Marie-Jo avait tout plaqué et était partie vivre avec lui. 
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