1. La sorcière polonaise et le toucan


    Datte: 18/05/2019, Catégories: fh, fagée, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral fdanus, fsodo, extraconj, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... Malgré les conseils prodigués et notre bonne volonté, le résultat fut mitigé de part et d’autre ; la Grenobloise n’avait pas ressenti le grand frisson espéré et moi, je m’étais senti vraiment à l’étroit.
    
    Assez déçu de l’épilogue fâcheux de cet après-midi, j’en oubliais d’emporter la petite culotte noire en soie, que Solange m’avait promise, afin d’agrémenter mes longues soirées d’hiver. J’étais monté dans ma chambre assez tôt, je n’avais pas allumé, pour faire mon quart d’heure noir quotidien : faire le bilan de la journée, mémoriser les faits importants et éliminer de ma mémoire les choses insignifiantes. Je me pris à sourire car, en fait, c’était la première fois que je trompais mon épouse. Même si on était séparés, cela me faisait tout drôle.
    
    Comme tous les hommes, dans mes rêves les plus chauds, j’avais forniqué avec des tas de femelles très cochonnes mais, en réalité, je n’étais jamais passé à l’acte. Pourtant, on m’avait fait parfois des yeux doux et une ou deux propositions à peine voilées, mais il fallait payer le prix avant l’éventuelle partie de jambes en l’air : courtiser, se montrer tendre et amoureux, inviter au restaurant, utiliser des ruses de Sioux pour ne pas se trahir envers le conjoint… Cela m’avait toujours semblé beaucoup trop compliqué et excessivement chiant.Nobody is perfect !
    
    Accoudé au rebord de la fenêtre, au premier étage, je distinguais Marie-Jo, assise en travers des genoux de son mari. Elle l’enlaçait en le couvrant de bisous sur ...
    ... la poitrine. Le matelas allait grincer dans le lit conjugal. Subitement, Marie-Jo se releva furieuse et une courte mais violente scène de ménage éclata.
    
    — Y en marre maintenant Antoine, ça fait six mois que tu refuses de me faire l’amour, ne t’étonne pas que j’aille voir ailleurs et que je prenne un amant !
    — Même pas peur… Tu n’as aucune chance, ma pauvre Marie-José, à moins de tomber sur un pervers qui aime bien les grosses mémés polonaises.
    
    Le lendemain matin, alors qu’Antoine et moi bossions côte à côte dans le garage, je ne fus pas étonné que Marie-Jo me fasse la bise mais n’adresse pas la parole à son époux. Elle m’informa donc qu’on avait rendez-vous, avec les Grenoblois, à onze heures sur la petite plage habituelle. Elle nous rejoindrait là-bas, après avoir fait un tour au marché parce que, ce soir, on mangeait tous ensemble.
    
    Marie-Jo se fit attendre sur la plage. Solange en profita pour glisser discrètement dans mon sac un sachet plastique et me murmurer :
    
    — J’ai mis ma culotte dans le sachet parce qu’elle est un peu humide… Je l’ai portée toute la nuit en pensant aux bêtises qu’on avait faites…
    
    Marie-Jo, radieuse, s’excusa de son retard car elle était repassée à la villa pour passer le maillot de bain qu’elle venait de dénicher au marché. C‘était une affaire, un article dégriffé de grande marque pour une poignée d’euros ! En plus, cerise sur le gâteau, le maillot était aux couleurs du drapeau polonais. Quand elle nous dévoila son achat en tournant ...
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