1. Réveillon lingerie avec un collègue antillais de mon mari


    Datte: 02/05/2019, Catégories: fh, couleurs, extracon, cocus, grossexe, fête, BDSM / Fétichisme Oral fsodo, occasion, extraconj, Auteur: Chanterelle, Source: Revebebe

    ... suis entré de cette maison. Suce-moi encore et fais-moi bien bander ! Je vais te la mettre profond. Et si tu es gentille, peut-être que je te juterai dans la bouche après. C’est ça, que tu veux, n’est-ce pas ?
    
    Il lisait dans mes pensées. J’en rêvais déjà, de ses giclées de crème, car j’adore sucer et il l’avait compris, mais je manquai de m’étouffer à l’idée d’une sodomie. Je ne l’avais jamais pratiquée, ni avec mon mari, ni avec mes rares flirts de jeunesse. Thierry me l’avait bien suggéré une ou deux fois. J’avais toujours refusé. Plus parce que je trouvais ça sale que par peur d’avoir mal, d’ailleurs. Mais avec Mikaël, je n’imaginais même pas encaisser cet engin. Je l’envisageais déjà à peine dans mon vagin.
    
    Pendant que je le suçais, Mikaël dégrafa ma robe dans mon dos. Je m’en débarrassai sans lâcher son sexe des lèvres. Me revoir en lingerie l’excita encore plus ; il m’empoigna par les cheveux. Des nausées m’assaillaient quand son gland touchait ma glotte mais son goût m’enivrait. Je n’avais qu’une envie : ouvrir mes lèvres en grand, tirer plus loin la langue et le sentir entrer chaque fois plus profond. Il m’ordonna d’ôter mon soutien-gorge et je m’exécutai sans cesser de sucer, les sens hypnotisés par ce membre qui gonflait de plaisir en glissant sur ma langue, par ses essences suintantes laissant envisager des lampées savoureuses, abondantes, à venir…
    
    Il me fit mettre à debout puis m’indiqua le lit, où je me m’installai spontanément à quatre pattes, lui ...
    ... tournant le dos. Il écarta la ficelle de mon string et passa un de ses gros doigts entre mes cuisses. J’avais fondu comme du beurre. Son doigt, léger sur mon clito, insista en passant sur l’orée de mon antre et étala mon jus jusqu’à mon anus, sur lequel il pressa pour en éprouver la souplesse. Contre toute attente, je m’ouvris. J’en avais trop envie. Son doigt força la voie et je perdis la tête.
    
    Je n’ai pas demandé à Mikaël de me sodomiser, mais j’ai écarté mes fesses à deux mains ce qui revient au même. Complètement cambrée, la joue contre le couvre-lit et le cul grand ouvert, je me sentais offerte comme jamais avant. Pourtant, j’avoue que j’ai eu mal… au début. J’ai souffert le martyre et j’en pleurais de douleur et de frustration. Il a été patient, mais ferme, me rappelant souvent à ma condition d’enculée par des claques sur les fesses et des insultes obscènes. Je crois que c’est ce qui m’excitait le plus. Ça, et le sentiment d’abandon nécessaire à une sodomie agréable. Quand enfin je sus l’accepter complètement, la douleur disparut et je laissai l’ami de mon mari me défoncer l’anus. Je faillis perdre la voix tellement il me fit hurler de plaisir. Tout mon corps vibrait sous ses coups de pilon. J’ai bien cru ne jamais arrêter de jouir.
    
    Il se retint d’éjaculer jusqu’à m’avoir grillé la moitié des neurones puis, en s’arc-boutant, il m’inonda le cul. Son sperme, en lubrifiant la pénétration, me fit décoller une nouvelle fois. Quand il débanda enfin, il se retira en douceur ...
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