1. Réveillon lingerie avec un collègue antillais de mon mari


    Datte: 02/05/2019, Catégories: fh, couleurs, extracon, cocus, grossexe, fête, BDSM / Fétichisme Oral fsodo, occasion, extraconj, Auteur: Chanterelle, Source: Revebebe

    Est-il nécessaire de préciser que cette histoire est absolument véridique, sans quoi elle n’aurait aucun intérêt ? Tout cela est arrivé lors du dernier réveillon que nous avons passé avec mon beau-père. Une attaque cardiaque l’emportait quelques semaines plus tard et je me demande encore si elle ne fut pas en partie causée par les événements qui marquèrent cette mémorable soirée.
    
    Depuis quelques années, nos deux grandes ados ne réveillonnaient plus avec nous. Cette fête traditionnelle était alors devenue un simple repas tardif à quatre : Thierry, qui est mon mari, ses parents et moi. C’est peut-être un peu pour ça aussi que Thierry avait invité Mikaël cette année. Pour rompre la routine, mais aussi pour ne pas le laisser seul à l’hôtel célébrer le nouvel an loin de sa famille. Mikaël était le directeur de la nouvelle agence de Fort-de-France récemment fondée par la firme de mon mari. En congrès sur Paris au moment des fêtes, il avait été ravi d’accepter notre invitation, plutôt qu’errer seul et sans ami dans la ville ou se gaver de télé à l’hôtel.
    
    Je ne suis pas raciste, mais je n’arrivais pas à me faire à l’idée d’un Noir dans notre salon, assis sur mes canapés, mangeant à ma table. Cette pensée me troublait sans vraiment me déranger, mais l’anticipation me rendait nerveuse. Bien sûr, il ne me viendrait pas à l’esprit de les discriminer, de leur refuser les mêmes droits qu’aux Blancs ou de déporter une famille intégrée vers son pays d’origine comme une marchandise, ...
    ... mais tout de même, l’idée d’un contact avec un homme noir m’avait toujours légèrement dégoûtée. Pas tant la couleur de la peau que certains traits du visage. Une aversion pour les nez épatés, une franche répugnance envers les grosses lèvres. Et mes filles avec un noir… ? Un frisson d’horreur finit de me refroidir tandis que j’épluchais les poireaux pour le soir.
    
    Thierry partit chercher ses parents vers huit heures. Henri et Maryvonne devenaient trop vieux pour conduire. Il n’était de toute façon pas prudent de leur laisser prendre la route seuls un soir à chauffards comme une Saint-Sylvestre. Mais alors que nous ne l’attendions pas avant neuf heures, le taxi de Mikaël le déposa devant chez nous cinq minutes à peine après le départ de mon mari. Je n’étais évidemment pas prête. Je lui ouvris la porte en tablier de cuisinière. Je n’étais pas prête non plus pour le choc visuel. Mikaël était obèse, énorme et complètement chauve. La cinquantaine, triple menton garrotté par une chemise claire boutonnée jusqu’au col, veste noire sur mesure plus large que la porte, bagouzes à chaque doigt et montre en or, il me dominait d’au moins deux têtes. Sa face ? Celle d’un bébé bouddha d’ébène !
    
    Je sursautai. Il fit poliment semblant de ne pas le remarquer. Il me tendit sa main avec courtoisie. Je lui offris la mienne et cinq boudins noirs l’enlacèrent avec une surprenante délicatesse pour la porter à ses lèvres tandis qu’il s’inclinait. Il ne m’effleura pas ; il connaissait les usages. Seul ...
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