Réveillon lingerie avec un collègue antillais de mon mari
Datte: 02/05/2019,
Catégories:
fh,
couleurs,
extracon,
cocus,
grossexe,
fête,
BDSM / Fétichisme
Oral
fsodo,
occasion,
extraconj,
Auteur: Chanterelle, Source: Revebebe
... Thierry ce que je pensais de son père, sa lingerie et son soi-disant spectacle, Mikaël me fit taire d’une œillade qui transperça mon cœur et il me signifia d’un hochement de tête qu’il approuvait fermement la demande de mon mari. Je n’ai pas su lui résister. C’est alors sans le quitter des yeux que je me suis entièrement déshabillée devant les trois hommes, mais surtout devant et pour lui. J’ignorais les deux autres. Je me suis redressée, nue au milieu de mon salon, puis j’ai enfilé une à une les pièces de lingerie. Papi Henri avait dû bien mater ; tout était à ma taille. Le contact du string me fit frémir. Il masquait à peine mon sexe. Une paire de bas accompagnait l’ensemble. Accrochés au porte-jarretelles dont les bretelles encadraient mes hanches, leurs liserés marquèrent bientôt les courbes du haut de mes cuisses. Le soutien-gorge me moula parfaitement, gonflant mes seins à merveille et laissant deviner par semi transparence les bouts de mes mamelons.
Les hommes me demandèrent de marcher, de tourner sur moi-même, prétendant admirer la finesse de l’ouvrage, la qualité de l’étoffe, mais me buvant des yeux tous les trois sans complexe ni vergogne. Enfin, Thierry me pria de remettre ma robe en gardant la lingerie.
— Pour moi, pour tout à l’heure, ajouta-t-il à l’attention de Mikaël avec un clin d’œil salace.
Maryvonne revint des toilettes quelques minutes plus tard comme si de rien n’était. Nous prîmes le café et même un digestif sans que l’incident ne soit ...
... évoqué.
Vers une heure du matin, papi piquait du nez. Il était temps que Thierry raccompagne ses parents chez eux. Nous appelâmes un taxi pour Mikaël. Hélas, pour un soir de réveillon, on nous proposa deux heures d’attente. Nous aurions dû réserver avant. J’invitai alors Mikaël à rester dans la chambre d’amis pour cette nuit. Les mots sortirent de ma bouche d’un trait, avant que je ne réalise tous les sous-entendus. Maryvonne haussa vaguement un sourcil, papi ricana et mon mari jugea que c’était une excellente idée. Il partit raccompagner ses parents, me laissant seule avec Mikaël.
Je me sentais vraiment potiche et en même temps j’avais le feu au ventre. Suivie de notre invité, je montai préparer la chambre. La décence aurait voulu qu’il me précède pour accéder à l’étage. Il n’y a qu’au bordel que la dame passe devant dans l’escalier. Je crois qu’il n’ignorait pas le protocole, mais qu’il y fit sciemment une entorse pour profiter d’une vue inégalable sur mes jambes et mon fessier prometteur qui tendait ma robe à hauteur de son nez. Ou pour me mettre encore plus mal à l’aise. Quand nous sommes entrés dans la chambre, j’étais trempée jusqu’à l’anus et je n’attendais plus qu’une chose : qu’il me prenne sur le lit. J’arrivais à peine à tenir debout.
Sans actionner l’interrupteur du lustre, je me suis approchée de son lit dans le noir et j’ai allumé la petite lampe de chevet. L’abat-jour diffusait une lueur ambrée propice aux égarements. Je me suis retournée. Mikaël se tenait sur ...