1. Réveillon lingerie avec un collègue antillais de mon mari


    Datte: 02/05/2019, Catégories: fh, couleurs, extracon, cocus, grossexe, fête, BDSM / Fétichisme Oral fsodo, occasion, extraconj, Auteur: Chanterelle, Source: Revebebe

    ... le pas de la porte. Il s’est approché de moi. Très près de moi. Je n’osais pas faire un geste. Une de ses mains s’est posée sur mes hanches. De l’autre, d’un revers des doigts, il ramena derrière mon oreille une mèche rebelle. Sa main poursuivit son mouvement vers ma nuque et son visage s’approcha du mien. Je détournai prestement la tête, échappant de justesse au baiser.
    
    — Non, m’excusai-je. Je ne peux pas. Il y a… il y a mon mari, vous comprenez.
    — Vous me rassurez, rétorqua-t-il. J’ai cru un instant que vous n’en aviez pas envie. Si ce n’est qu’à cause de votre mari, alors je sais avec certitude que je vais faire l’amour avec vous dans les plus brefs délais.
    — Vous vous trompez. Je suis une femme fidèle.
    — Je sais, vous l’avez dit tout à l’heure au dîner. Et vous avez même admis que tromper en pensées, c’était déjà tromper.
    — Je sais ce que je dis.
    — Donc, vous avez trompé votre mari, avant le dessert, quand nous nous sommes croisés dans le couloir.
    — Je vous trouve bien présomptueux, Mikaël.
    — Vous pouvez me mentir, mais vous ne pouvez pas vous mentir à vous-même.
    — Êtes-vous télépathe ?
    — Je connais les femmes. Surtout quand elles se déshabillent devant moi, ajouta-t-il. On apprend beaucoup de choses en regardant une femme se dévêtir. Il y a des signes qui ne trompent pas. Je sais ce que vous désirez. Et vous savez que dans deux jours je repars pour Fort-de-France. Alors rien qu’une fois. Vous en brûlez d’envie…
    — Mikaël je…
    
    Sa main droite venait ...
    ... d’agripper mes cheveux et la gauche remonta vers mes seins lorsque qu’il me bâillonna de ses lèvres charnues. Soudain prise de vertige, je lui cédai ma langue. La sienne, épaisse et chaude, s’immisça dans la bouche que j’offrais en réponse à son baiser vorace. Je me sentais petite, fragile entre ses bras, mais ouverte, accueillante… humide. Mes cuisses s’écartèrent d’elles-mêmes. Sans pouvoir me contrôler, j’ai posé une paume sur sa braguette. La bosse était dure et plus grande que ma main. J’ai trouvé la fermeture et je l’ai fait glisser. Il m’a aidée à défaire le bouton et j’ai extrait son sexe du caleçon tendu. Écrire que sa verge était colossale reviendrait à manquer une belle occasion d’employer l’adjectif titanesque. Un concombre de cette taille aurait pulvérisé les records agricoles. J’ai mal à la mâchoire chaque fois que je repense à cette fellation.
    
    Sa main dans mes cheveux me tira vers le bas et me fit mettre à genoux. Son gland, sous mon nez pressa contre mes lèvres. Je le laissai instinctivement me pénétrer. J’en lustrai la surface en y passant ma langue pour le rendre glissant car j’aime sentir un nœud coulisser dans ma bouche. Je voulus le prendre en main pour le branler mais il m’en empêcha.
    
    — Sans les mains, s’il te plaît. Ce sont les mauvaises, qui sucent avec les mains. Toi, tu es douée, je le sens. Tu y prends du plaisir. Je vais bien t’enculer, tu vas voir. Tu vas adorer ça. Pompe en l’imaginant coulissant dans ton cul ! J’ai envie de tes fesses depuis que je ...
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