Réveillon lingerie avec un collègue antillais de mon mari
Datte: 02/05/2019,
Catégories:
fh,
couleurs,
extracon,
cocus,
grossexe,
fête,
BDSM / Fétichisme
Oral
fsodo,
occasion,
extraconj,
Auteur: Chanterelle, Source: Revebebe
... aux filles, mais c’est papi qui avait préparé une grosse surprise sans rien nous dire. Quand j’ouvris son cadeau, je découvris un ensemble de lingerie fine comprenant soutien-gorge translucide, string microscopique et porte-jarretelles, le tout en dentelle extrêmement soignée. C’était en même temps superbe et de très mauvais goût. En tout cas, cela jeta un froid. Maryvonne était outrée. Papi ricanait doucement sur un mode figé en hochant la tête comme un culbuto. Thierry semblait absent. Mikaël au contraire imposait sa masse sombre derrière moi. Je tremblais, de rage, et d’humiliation, et de dégoût pour ce vieillard lubrique qui me voulait vêtue comme une prostituée dans le lit de son fils. Et la présence de Mikaël ne faisait rien pour me calmer. J’étais morte de honte. Je savais que Thierry ne serait d’aucun secours. Toujours le bon fifils à papa, il ne ferait rien contre son père. Mikaël n’avait pas à intervenir dans ce qui devait rester un incident familial. Seule Maryvonne pouvait quelque chose pour moi, mais elle restait muette, lèvres jointes et narines pincées. Alors papi, pour une fois, articula une phrase compréhensible :
— Ben vas-y, enfile-les !
On n’aurait pas pensé que Maryvonne pouvait pâlir plus, mais elle y parvint. Thierry eut un hoquet. Mikaël ne broncha pas. En ce grand moment de solitude, je foudroyai Henri du regard sans aucun résultat remarquable. J’étais prête à lui lancer son cadeau à la figure quand Thierry vola in extremis au secours de son ...
... père et me scia net dans mon élan.
— C’est vrai ma chérie, tu devrais les essayer, suggéra-t-il. Ils doivent t’aller à ravir.
Quand je me retournai vers lui, mon regard lui demandait assez fort s’il était devenu fou, mais un haussement d’épaule me répondit que non, tout allait très bien et tout était normal. Je me tournai alors, désespérée, vers Maryvonne qui étouffa une toux discrète dans sa serviette avant de s’excuser et se diriger vers les toilettes sans un regard pour moi. Elle avait depuis longtemps pris l’habitude de ne pas se mêler des perversions de son mari et de son fils, tant qu’elle pouvait y échapper.
En dernier recours, je me tournai vers Mikaël et ma gorge se noua quand nos regards se croisèrent. Je fus prise de vertiges. Ses yeux me faisaient fondre. Leur éclat, si profond, si intense. Une telle énergie, contenue, prête à jaillir ; terrifiante puissance d’un mâle désiré. Sa voix grave et posée donna le coup de grâce :
— Je pense que votre mari a raison, affirma-t-il. Nous serons ravis de vous voir porter pour nous ce délicieux présent, s’il vous plaît.
Je ne peux pas expliquer pourquoi j’ai cédé. Quelque chose dans sa voix, dans le ton employé, dans son personnage à la fois effrayant et fascinant. J’acceptai. Mais quand je voulus me diriger vers notre chambre pour me changer, Thierry me retint :
— Non. Déshabille-toi ici ! Ce n’est pas tous les jours que nos invités jouissent d’un si charmant spectacle.
Avant que je n’aie pu expliquer à ...