Berlin, son histoire, ses vices (4)
Datte: 26/04/2019,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... Le matin, c’est toujours calme.
— Alors, comment va ma douce amante. Me demande ma douce compagne
— En face de toi, merveilleusement bien ma douce. Y a juste un petit problème.
— Lequel ?
— Agnès, sur ordre de notre Maîtresse, elle est arrivée y a deux heures avec ses valises. Elle m’a appris avoir été virée de chez son homme.
— Le petit merdeux, l’enculé, le...
— Chut, calme-toi, ma chérie. Là, en ce moment, je ne vais pas arriver à nous faire vivre toutes les deux. Même avec son salaire, j’ai explosé mon budget avec mes anneaux. Tu peux mettre une annonce pour...
— Pour faire comme Mademoiselle ?
— Oui, exactement, le temps que je commence mon boulot.
— Sans problème, je fais passer le mot. Je donne ton adresse et ton téléphone ?
— Si tu veux, oui. Marque bien qu’on est deux enfin, sauf si tu veux te joindre à nous, ma belle amazone.
— C’est à voir. L’idée n’est pas pour me déplaire.
— Je baise ton petit cul, ma douce amante. Il faut que je retourne m’occuper de l’éducation de notre nouvelle amie de cœur.
— Ne sois pas trop vache.
— Aucun souci.
Béa me promet de passer après la fermeture. Dans mon appartement, je dois rire en découvrant Agnès sur le sommet de mon bar, se donnant du plaisir sur ce gros gode placé en son extrémité. Aussi, avant qu’elle n’ait le temps de se retirer, je menotte ses pieds à mon bar et me presse d’appeler Mademoiselle pour lui signifier l’arrivée d’Agnès. Pour faire voir à Mademoiselle, qui est en ...
... chemin, je me menotte mes mains aux pieds d’Agnès et me mets à genoux, nue, à attendre l’arrivée de ma déesse de Maîtresse.
À peine dans le salon, elle s’arrête net. C’est très lentement qu’elle retire sa cape, ses gants. Vicieuse, elle prend un martinet et flagelle délicieusement mes seins sans défense. Je me mords ma lèvre inférieure, signe plus qu’évident que j’éprouve du plaisir. Elle ne me frappe encore pas très fort. C’est ensuite le tour d’Agnès de recevoir ces lanières exquises. Sa mouille me dégouline dessus. Vicieuse, Mademoiselle l’oblige à se soulager. Quand ce liquide chaud me coule sur le corps, je suis déjà au bord de l’orgasme. Ma tête renversée en arrière, je me gave de cette urine salée. La main de Mademoiselle masse mes seins, les étire, les tord en tous sens. Elle en profite même pour étaler l’urine sur ma poitrine, mon ventre et ma chatte détrempée. Plongeant mon regard dans celui de ma Maîtresse adorée, je suis sur le point de hurler mon bonheur quand Mademoiselle plaque sa bouche sur la mienne. Elle avale mon long râle de bonheur, se masturbant de ses deux mains maintenant.
— Je te reconnais bien là, espèce de sale pute. Tu es la pire chienne que je connaisse avec Béa. Comme Béa, je t’aime mon adorable chienne.
— Wouaf ! Que je lui rétorque, trop heureuse de passer pour une chienne.
— Et toi, Agnès, c’est ce que tu veux devenir ?
— Oui, servir, vous servir, servir Aroa. Je veux aussi vous aimer, vous vénérer à chaque instant de ma vie, ne ...