Berlin, son histoire, ses vices (4)
Datte: 26/04/2019,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... temps de me mettre une nuisette de salope dévergondée. Derrière la porte, je m’agenouille, mes mains sur la tête, mes mains menottées comme mes chevilles. Elle arrive telle une tempête, me voit, m’ordonne de me relever. Je lui abandonne mon corps, elle me gifle, les larmes lui coulent sur ses joues. Je les lui lèche, lui susurrant mon amour indéfectible. Elle me fouette de sa cravache, derrière, Béa et Agnès arrivent, main dans la main. Je me fais punir et à juste raison, je n’ai pas demandé son autorisation à Mademoiselle. Elle cesse, me redresse, inspecte mes anneaux. Mon corps brûle de passion pour Mademoiselle. Derrière, Agnès arrive sans bruit. Elle n’est plus la femme effrayée, elle s’en vient vers moi, s’agenouille devant moi, embrasse mon pubis. Puis, elle se retourne, embrasse les mains de Mademoiselle, l’implorant de ne plus me punir. Notre Maîtresse la relève, l’embrasse tendrement. C’est gagné, Agnès fond d’amour pour notre divine Maîtresse. Ce soir, elle ne rentre pas. Dans mon lit, nous l’aimons jusqu’à ne plus pouvoir. Elle m’avoue enfin ne plus jouir avec son mari. Elle se dit en manque, un manque qui la rend folle de désir pour Béa, Mademoiselle Janice et enfin moi.
Deux jours plus tard, Agnès, sans prévenir, avec armes et bagages, déboule chez moi sans crier gare. Immédiatement, elle se jette à mes pieds, me les baise, me les lèche.
— Maîtresse, Mademoiselle m’envoie à vous, elle exige de moi que je sois votre esclave et je l’accepte très volontiers ...
... parce que je vous aime.
Le trouble m’envahit, c’est déjà une soumise, une divine et belle soumise. Mon Dieu, que cette femme est belle, ainsi prosternée à mes pieds. Je m’accroupis devant son visage. Je l’embrasse, ses lèvres sont aussi douces et sucrées que du miel.
— Relève-toi, ma douce. Et ton mari...
— Il m’a mise dehors après que je lui ai avoué mon amour pour vous, Béa et notre déesse. Cependant, il en est une que j’aime plus que les autres, vous Maîtresse. Faites mon éducation, je vous en conjure. Je vous serais fidèle jusque dans la mort, Maîtresse Aroa.
Je ne sais comment m’y prendre. Agnès me trouble car, quelque part, elle me ressemble quand je me donnais à Mademoiselle Janice. Soumise, je le suis et jusqu’au bout des ongles et je ne peux le nier. Je crois être davantage encore, bien plus que je ne le suppose. Mais quant à dresser et éduquer une soumise, je ne sais pas. Empruntée, perdue, je cherche comment. Et puis, je comprends tout dans une sorte de révélation et tout me devient limpide. Je l’emmène. Une fois dehors, je trouve vite ce que je désire. Dans cette boutique animalière, mais pas que, je lui achète le même collier et le lui impose sans aucun refus de sa part. À son doigt, je mets la bague, la même que Béa et moi. Je lui mets encore une laisse à son collier et lui impose mon ménage à demi-nue. Là encore, je prends vite un goût certain à la dominer amoureusement. Pendant qu’elle nettoie mon appartement, je me rends chez Béa, dans la boutique. ...