1. Berlin, son histoire, ses vices (4)


    Datte: 26/04/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... certain. Hommes et femmes se succèdent dans son donjon. Tous sont à la recherche de sensations aussi jouissives que violentes. Dans ces moments, je deviens l’assistante de Mademoiselle, je participe parfois, me faisant remplir par ses soumis. C’est toujours un homme qui me baise en guise de récompense. Et moi, envoûtée, droguée, souffrant d’une profonde addiction à ces jeux, je prends mon pied de ne plus être qu’un objet à l’entière et totale disposition de Mademoiselle Janice. Quand Béa est présente avec nous, ses jours de congé, nous ne sommes plus les chiennes de Mademoiselle, nous agaçons les sens des hommes soumis par nos danses lascives, amoureuses, nos coups de langue pervers. Ayant interdiction d’avoir la moindre érection, on prend plaisir à les voir bander dur comme fer avant d’en subir les conséquences. Avec les femmes, c’est encore plus vicieux et pervers. Et là encore, elles en paient un prix cruellement élevé pour avoir eu du plaisir.
    
    En ce dimanche matin, Mademoiselle nous pose nos colliers, nos laisses. Sans rien d’autre qu’une simple cape noire sur le corps, Mademoiselle décide qu’il est temps de m’exhiber. Nos mains menottées dans notre dos, Mademoiselle se pose derrière le volant de sa puissante limousine. Après avoir pratiquement traversé Berlin, près d’un luxuriant parc, elle nous oblige à sortir. Dans ce parc, en plein centre, le Tiergarten, Mademoiselle nous promène. Nos capes s’ouvrent à chacun de nos pas. Béa marche telle une pouliche. La voyant ...
    ... se déplacer ainsi, je l’imite. Derrière nous, Mademoiselle flatte nos culs d’une badine en nous obligeant à marcher lentement, sans stress. Puis, dans une clairière, elle regarde soigneusement aux alentours. Elle veut s’assurer qu’aucun enfant de moins de 18 ans ne s’y trouve. Rassurée, elle ouvre nos capes, les noue dans notre dos. Nos mains libérées, elle nous fait mettre à quatre pattes, toujours en laisse. Telles deux chiennes, n’hésitant pas à nous cingler nos culs de sa badine, Mademoiselle nous fait faire le tour de cette clairière. Là, devant un imposant chêne, elle nous oblige à nous soulager comme les chiennes que Béa et moi, sommes. J’avoue ma peine, ma honte. Mon visage, depuis la découverte de ces lieux, est rouge, bouillant de honte. Cela amuse énormément Mademoiselle qui n’hésite pas à me moquer. Avisant une femme arborant le drapeau arc-en-ciel, elle lui demande si elle ne désire pas se faire lécher par nos bouches. J’avoue en avoir une envie irrépressible. Je devance même Béa, léchant déjà les pieds nus emprisonnés dans des sandales romaines. La femme se baisse un peu, relevant sa jupe sur une toison plus qu’abondante. Ma langue, ne me demandez pas la raison, s’en vient dévorer ce minou. Un goût âcre envahit ma bouche, elle doit avoir uriné il y a peu. Pourtant, ma langue s’enfonce déjà dans ce sexe et la femme de mieux plaquer mon visage contre sa chatte. Béa nous contourne, écarte les fesses de cette femme. Je ne vois pas ce qu’elle fait, mais je le devine ...
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