1. Berlin, son histoire, ses vices (4)


    Datte: 26/04/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... et elle m’y encourage d’une main discrètement posée sur mon fessier. Sans le savoir encore, je deviens accro, nymphomane et une putain de salope de chienne soumise. Je deviens une droguée du sexe, merveilleuse addiction s’il en est. Agnès me cède un baiser, un vrai, se laissant maintenant caresser. Je me permets même un baiser sur sa chatte, à travers sa culotte.
    
    — Aroa, puis-je te dire quelque chose en privé ?
    
    — Tout ce que tu veux et tu le sais.
    
    Elle m’entraîne au sous-sol, nous passons rapidement la porte de la réserve. À peine la porte fermée à double tour, elle me gifle durement. Je me tombe à ses pieds que baise tendrement. Elle me relève, m’embrasse à pleine bouche.
    
    — Ma belle, il y a que je t’aime depuis que tu es entrée dans notre boutique. C’est seulement maintenant que j’arrive à te le dire. La gifle, c’était juste pour te reprocher de n’avoir pas fait le premier pas avant.
    
    — Ma chérie, ma douce, toi, Béa et Mademoiselle, vous me rendez folle d’amour. Tu comprends ça ? Je ne pouvais avant et ce n’est pourtant pas l’envie qui me manquait. Il fallait juste que je sache si tu étais prête. Oui, je te voulais prête à faire le premier pas dans notre direction. Je te sais soumise au fond de toi, Béa me l’a si souvent répété. Elle non plus n’a pas osé. Comme moi, elle attendait un signal fort venant de toi. Je voudrais tant te voir avec nous deux, afin de t’offrir à Mademoiselle. Ne me dis surtout pas que tu ne l’aimes pas. À chaque fois qu’elle vient, tu ...
    ... fonds d’amour devant elle. Tu files même te branler juste après son départ comme une sale gamine. Maintenant, si tu veux me punir, mon corps est devant toi. Tu peux en user comme bon te semble.
    
    — Je ne veux pas te faire mal. Je suis... je...
    
    — Moi aussi, ma douce, je le suis, amoureuse de toi.
    
    Que m’arrive-t-il. Faut-il que je la pervertisse elle aussi ? Ne suis-je pas assez heureuse ainsi, avec deux femmes à aimer sans qu’il ne me faille aussi Agnès ? À vrai dire, quand une personne me plaît, il me faut la rallier à moi, c’est plus fort que moi. À croire que je deviens folle mais folle d’amour pour la gent féminine. Maintenant, une chose est certaine, Agnès nous aime, Mademoiselle, Béa et moi. Cela se voit sur son visage quand nous sommes là, devant elle. Et puis, avec Béa, elle fait tout pour ne pas lui montrer ce qu’elle ressent. Nous la savons avec un homme, je ne sais si elle est heureuse avec lui. Je n’ose le lui demander, attendant qu’elle me le dise. Elle retire la chaînette de mon nez, m’embrasse, passant ses mains sur tout mon corps. Je la couche, l’aime, la fais jouir et, main dans la main, l’emmène devant Béa en lui donnant sa main. Je m’habille, je rentre.
    
    Dans mon appartement, je me sens soudainement seule, très seule, trop seule même. Je sais que Mademoiselle ne veut me voir, cela m’attriste. Le téléphone sonne, c’est Béa qui me dit avoir averti Mademoiselle pour mes anneaux. Elle ajoute qu’elle ne va plus tarder à débarquer chez moi. J’ai juste le ...
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