Berlin, son histoire, ses vices (4)
Datte: 26/04/2019,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... abondance en pensant à la surprise de mes deux amours, ce soir. Une des assistantes me plante une fine aiguille qui traverse mon téton, par surprise. Le temps que je comprenne, je ne mouille plus et je suis percée. L’autre mamelon subit le même sort peu après et mon sexe est annelé.
Ma main se glisse entre les cuisses de cette jeune femme. Je sens déjà la douce moiteur de son sexe. Je la branle sans ne plus penser à autre chose qu’à la faire jouir. Il ne reste que le capuchon de mon clitoris. Quand l’aiguille le traverse, je ne peux empêcher un cri de douleur. La bouche de l’autre assistante sur la mienne, me muselle. On me désinfecte, on me bichonne. Alors, chose insensée, je demande à l’homme d’user de mon corps pour en jouir. C’est Mademoiselle qui, dans sa très grande bonté, m’a autorisé les hommes dont je suis encore particulièrement très vorace. Alors, devant ses assistantes, il me baise, je branle ses deux soumises de mes mains. L’homme passe de mon con à mon cul. Ma bouche, mes mains s’activent entre les cuisses annelées de ces deux femmes. Il ne jouit pas en moi, me force à boire son sperme dont je me délecte. Je n’ai plus guère l’occasion d’en déguster depuis mon arrivée dans cette ville, Berlin.
Puis, à la caisse, il refuse que je paie sous prétexte que Mademoiselle possède un compte chez lui. Je refuse de laisser Mademoiselle payer ma décision. Je pose mille marks, l’affaire est conclue. Je ne peux m’empêcher de faire jouir la troisième des employées. Ma ...
... bouche la boit, mes mains la couvrent de caresses. Sa cyprine inonde ma bouche, une femme fontaine, ma première femme fontaine, je me régale d’autant plus. Dans mon appartement, je me change après une longue douche suave. Je ne peux aller voir ma Maîtresse chez elle ce soir, elle reçoit un client depuis mon départ, un payant particulièrement masochiste. Alors, tout de court vêtu, je me présente à Béa, fière de ma chaînette pendant à mon nez. Je cicatrise vite, c’est une chance. Devant elle, je plaque sa main sous ma courte jupette de gamine vicieuse. L’effet est immédiat, ses mains me fouillent, sa langue lèche mon nez. Derrière, elle me baise, me viole, parfois sous le regard attendri d’Agnès qui se refuse encore. Si seulement elle savait ce que nous vivons, la pauvre. Alors, je raconte tout, du perçage de mon nez jusqu’au moment où l’homme me baise et que je fais jouir ses assistantes. Là, le regard d’Agnès change quand je me redresse nue devant elle. Voyant mes seins et mon nez reliés par cette longue chaînette, je m’approche d’elle, son regard bloqué sur ces chainettes. Dans son cou, je pose mes lèvres.
— Tu es sublime ma chérie. Si tu voulais... mais je ne suis pas pressée à vouloir te faire jouir et pourtant.
Je pris sa main, la posant sur mes chaînettes.
— Tu pourrais me guider là où tu veux que j’embrasse ton corps, me forcer même.
— J’ai peur, tu me fais peur, vous me faites peur, toutes les trois.
Béa comprend vite que mon désir de corrompre sa collègue ...