Berlin, son histoire, ses vices (4)
Datte: 26/04/2019,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... au-delà de ce que je pouvais supposer. Je crois que je deviens légèrement masochiste. Pire que tout, j’aime ça, souffrir un peu.
Le lendemain, en robe moulante, corset et talon aiguille XXXL, je me rends à mon nouvel appartement. Le soir précédent, pendant que ma douce Béa me soignait encore, j’ai écrit une longue, très longue lettre à mon ami et chef, Alain. Je lui ai tout raconté sans ne rien lui cacher. Je sais d’avance que ma lettre va me le faire bander comme un âne. Mais là, tout en flânant dans ces rues émoustillantes, je passe devant une boutique et dans la vitrine, une photo, la photo d’une belle poitrine ornée de ses petits anneaux et de la petite chaînette qui les unit. Je décide de me renseigner. Derrière un petit comptoir, une femme, les tétons dénudés, reliés par une chaînette et une autre, formant un triangle avec son nez, lui aussi annelé. Je suis fascinée par cette vision surréaliste et sublime. Un homme sort de derrière un rideau, me demande ce que je désire. Je me mets à lui poser mes questions. Il ordonne à la femme de retirer sa courte jupette. Je la devine délicieusement soumise en la voyant rougir devant moi au moment où sa jupette glisse sur ses jambes. Devant ce sexe annelé, je ne peux empêcher ma main de caresser ce sexe glabre en titillant les anneaux et le cadenas qui obture sa chatte. Nous devons avoir pratiquement le même âge et son sexe se pare vite d’une légère humidité. L’homme la retourne, me montre son cul tatoué au nom de son Maître, ...
... l’homme de la boutique. Je me pose mille et une questions, à savoir si cela plairait à Mademoiselle que je lui revienne annelée entièrement. Le prix ne représente pas un problème en soi. Le problème est de savoir si je peux supporter la douleur que me décrit cet homme avec une précision diaboliquement perverse. Convaincue, je décide de sauter le pas. Si l’homme ne peut me prendre ce jour, nous fixons tout de même un rendez-vous.
Puis, notant notre rendez-vous, il me demande qui m’envoie, là, le simple nom de Mademoiselle Janice accélère grandement les choses. Il biffe notre rendez-vous, frappe dans ses mains, deux autres femmes arrivent, aussi nues que celle derrière son comptoir. On me sourit, des sourires de connivence. On me guide, me déshabille, on me caresse, on me lèche partout, même mon cul. Devant les quelques poils qui repoussent, on me rase de près jusqu’autour de mon anus. On m’installe et ça commence et par ma cloison nasale. Je sais pertinemment que je vais souffrir et je l’accepte parce que c’est par amour pour Béa et Mademoiselle Janice que je le fais avant tout. Il est tout juste dix heures du matin, mon nez porte mon premier anneau et j’ai à peine souffert. Les deux assistantes désinfectent les emplacements au fur et à mesure que l’homme me transperce de ses aiguilles. Je souffre et pas qu’un peu, surtout mes seins encore terriblement sensibles après la petite séance de martinet de la veille. Sur mon sexe, l’homme peine un peu à poser sa pince, je mouille en ...