1. Berlin, son histoire, ses vices (4)


    Datte: 26/04/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... miette de mes supplices. J’avoue que j’apprécie quand d’autres femmes viennent, me touchent pendant que Monsieur Heinz me fesse durement. Même la cire brûlante sur mon corps ne me fait pas reculer. Je veux prouver à Mademoiselle que je suis sa soumise, que je suis prête à tout pour la servir fidèlement et avec amour. Je subis encore deux fistings, j’en jouis même à plusieurs reprises. Puis, le supplice des pinces à linge me fait encore jouir quand, d’une longue cravache, Monsieur Heinz me les retire une à une pendant que je fixe Mademoiselle. Enfin, il me fait écarteler et aveugler. Là, mon corps est soudain entièrement en feu. Je hurle en sentant ces orties frotter, fouetter mon corps. Maître Heinz va jusqu’à en glisser quelques feuilles dans ma chatte déjà en feu. Je hurle de plus belle quand la bouche de Mademoiselle se pose sur la mienne. C’est que je jouis avec une violence sans comparaison possible.
    
    — Ma chère, cette petite me plaît. Elle en a dans le coffre. Si j’en avais dix comme elle, j’en serai ravi. IL faut que nous discutions, vous et moi, ma chère Janice.
    
    — Certes, je ne suis pas contre le fait qu’elle tourne pour vous, très cher. Reste que c’est à elle d’en décider. Officiellement, elle n’est pas encore ma soumise, n’ayant aucun contrat signer à cette date. Cela dit, tout à fait entre nous, mon cher Heinz, cela m’étonnerait beaucoup qu’elle se refuse à vous.
    
    — C’est ce que j’ai pensé lors de notre toute première rencontre, dans le magasin, au ...
    ... sous-sol. J’ai vu dans son regard qu’il ne lui fallait qu’un léger coup de pouce pour qu’elle bascule dans notre monde. N’est-ce pas, Aroa !
    
    — Oui Monsieur, c’est vrai. C’est Béa qui a été l’interrupteur, si vous me permettez cette comparaison. Puis, Mademoiselle Janice s’est montrée délicieusement persuasive. Enfin, j’ai vu pratiquement tous vos films, Monsieur Heinz. Alors, tourner pour vous, si Mademoiselle m’y autorise, je suis partante si cela se passe comme aujourd’hui.
    
    — Dis-moi, Aroa, que penses-tu de mes orties ?
    
    — Que du bien Maître, que du bien.
    
    — Vous autres, décrochez-la et que quelqu’un la soigne. Ma chère Janice, il vous faut lui faire signer son contrat sans perdre de temps. Sinon, c’est moi qui lui fais signer un contrat. Vous la prendre, je ne vous le cache pas, me réjouirait. Béa me manque tellement.
    
    — Béa ? Oui, je me souviens de cette passe d’armes. Mon cher, elle va le signer son contrat, mais avec moi. Si elle venait à refuser, je lui promets un mois de torture suffisamment douloureuse pour qu’elle nous signe n’importe quoi. Tenez, voyez comme je suis bonne, c’est son adresse. Du moins, une fois que j’aurais équipé son appartement.
    
    — Mais c’est tout près de votre domicile, très chère.
    
    — Alors, imaginez seulement la suite, délicieux ami.
    
    Pendant qu’on me soigne, Mademoiselle et Monsieur Heinz discutent encore de moi, de la suite à donner à ma vie de future actrice de film fétichiste et SM. Les orties, ça, je peux prétendre avoir aimé ...
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