La pose
Datte: 19/04/2019,
Catégories:
ff,
ffh,
inconnu,
grosseins,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
historique,
historiqu,
hff,
Auteur: Ben, Source: Revebebe
... le souhaite, je peux lui montrer qu’il y a d’autres moyens de se servir d’un pinceau.
— Petite vicieuse, qui t’a appris tout cela ?
— Oh il y a tant de monde qui passe dans cet atelier… Vous en connaissez d’ailleurs : Madame de Marans par exemple, vient souvent poser.
Sans la prévenir, Marie lui glisse alors le manche verni d’un autre pinceau dans la fente. Elle ne fait d’abord que caresser le sexe du bout arrondi. Cela exaspère Caroline qui voudrait le sentir sur son clitoris, et au plus profond de son vagin. Elle la supplie :
— Enfonce-le… Enfonce-le-moi dans ma petite chatte poisseuse.
— Comme ceci ?
— Oui voilà. C’est bon. Encore plus loin ! Oui, ramone-moi bien !
— Madame me traite de vicieuse, mais je ne sais pas laquelle de nous deux est la plus dévergondée !
— Continue à me branler, en même temps. Caresse-moi le bouton.
— Madame a un joli bouton, tout gonflé. Madame veut-elle que je le suce ?
— Tout ce que tu veux : suce-moi branle-moi, lèche-moi. Tu me fais mourir.
— Mmh, c’est bon. Madame mouille abondamment. J’adore le jus de chatte.
— Vas-y alors, ma petite Marie, étanche ta soif à ma source !
Marie s’en donne à cœur joie : elle suce, branle, caresse et lèche. Elle fait aller et venir le manche du pinceau dans la chatte béante en variant les rythmes et les mouvements de façon si experte que les gémissements de Caroline deviennent bientôt cris de plaisir. Quand elle prend un second pinceau, et le glisse sur l’intérieur de ses cuisses, Caroline ...
... soulève son bassin, pose ses mains sur ses fesses et les écarte pour que Marie puisse le glisser jusqu’à son anus.
L’invitation est explicite.
Marie passe le bout du pinceau sur son sexe pour l’enduire de jus. Caroline la supplie. Quand Marie présente le bout du pinceau contre sa rosette, Caroline n’y tient plus. Elle s’empare du pinceau, et se l’enfonce elle-même dans ses tréfonds. Elle rue et gémit. Les deux pinceaux lui labourent les orifices et lui procurent un intense plaisir. Elle se redresse, se met à quatre pattes, cambre les reins, le pinceau fiché dans son cul et les seins douloureux.
— Vas-y, recommence. Oh c’est bon.
— Madame est excitée !
— Oui, je suis excitée comme une chatte en chaleur. Prends-moi de partout, fais-moi jouir.
— Si Madame veut bien se branler elle-même le cul, je pourrai lui branler la chatte tout en lui taquinant le bouton.
Caroline n’en peut plus. Elle s’enfonce le manche du pinceau dans l’anus, tandis que Marie lui pénètre la chatte. De son autre main, elle se caresse les seins, et en pince les bouts. Très rapidement, elle ne peut plus retenir l’orgasme qui la submerge. Elle crie son plaisir, puis s’écroule, tremblante et pantelante.
Peu après, Marie la caresse doucement pendant qu’elle reprend ses esprits. C’est à ce moment que le peintre fait irruption dans l’atelier. Caroline se précipite pour se voiler avec sa robe. Le peintre la rassure :
— N’ayez crainte, ma chère, un corps nu ne m’a jamais intimidé. Surtout que le ...