La pose
Datte: 19/04/2019,
Catégories:
ff,
ffh,
inconnu,
grosseins,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
historique,
historiqu,
hff,
Auteur: Ben, Source: Revebebe
... passe le bout de sa petite langue agile sur ses lèvres roses et pulpeuses. Concentrée sur sa tâche, elle ne remarque pas que la Caroline détaille sans vergogne ses petites oreilles, son cou fin, ses mains élégantes, ses seins durs dont on aperçoit le galbe par l’échancrure de sa tunique entrouverte. Elle tend le verre à Caroline, qui trempe ses lèvres. La servante prend aussi un verre, et en vide la moitié.
— Comment t’appelles-tu ?
— Je me prénomme Marie, mais tout le monde m’appelle Manon.
— Tu es de Paris ? Tu as un accent de province.
— Oui, je viens du Limousin. Mes parents m’ont envoyée à Paris pour gagner ma vie, et depuis deux ans je tiens le ménage… et parfois la pose, aussi.
— Quel âge es-tu ?
— Je viens d’avoir mes 18 ans. Mais pourquoi Madame s’intéresse-t-elle donc tant à moi ?
— Je te trouve bien jolie, et j’ai un faible pour les jolies filles. Parle-moi de ton maître ! Te traite-t-il bien, au moins ?
— Ma foi, je ne me plains pas. Il est plein d’attention, comme d’ailleurs beaucoup des gens qui passent ici.
— Approche, et verse-moi donc un autre verre de vin.
Caroline sent le vin lui monter à la tête. Elle a un instant hésité avant de demander à Marie de lui verser un second verre, mais elle est toujours excitée par la vision des toiles qu’elle a découvertes au fond de l’atelier : elle imagine la jeune femme nue prenant la pose. Qui sait, un second verre de vin ne peut que libérer des instincts.
— Dis-moi, est-ce que tu as déjà posé pour ton ...
... maître ?
— Oui, assez souvent je dois dire. Il aime bien me tirer… le portrait comme il dit.
— Tu as déjà posé nue ?
— Il m’oblige toujours à poser nue. Il dit que mon corps l’inspire.
— Tu es fière de ton corps ?
— Devrais-je en avoir honte ? En tout cas, il ne laisse personne indifférent, même si moi je trouve que j’ai de petits seins.
— Approche-toi !
Caroline l’attire vers elle, écarte l’échancrure de sa robe et tire sur le tissu pour dévoiler un joli petit sein ferme et arrogant. La jeune servante se laisse faire en riant. Manifestement, elle aime la provocation et le jeu. Le téton est rose et gonflé, arrogant. Caroline le touche du bout de son index. La jeune fille rit, émet un petit grognement de satisfaction.
— Madame me montrera les siens, maintenant ?
— Comment donc ? Petite effrontée !
— Je suis sûre que Madame aime montrer son corps. De toute façon, Madame va bientôt le dévoiler à mon maître. Alors, à quoi bon l’attendre ?
— Qu’est-ce qui te fait croire que je poserai nue ?
— Il est des choses qu’on devine. Madame ne peut cacher sa sensualité, et je suis sûre qu’elle aime qu’on admire son corps. Même les autres femmes, non ?
— Décidément, tu me sembles bien éveillée à ces choses. Tu veux voir mes seins ? D’accord. Mais il te faut le mériter. Déshabille-toi la première !
Caroline regarde avec intérêt la jeune fille se relever, dénouer sa robe, et la laisser tomber à ses pieds. Elle comprend l’intérêt du peintre. Elle retrouve la silhouette qu’elle ...