La pose
Datte: 19/04/2019,
Catégories:
ff,
ffh,
inconnu,
grosseins,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
historique,
historiqu,
hff,
Auteur: Ben, Source: Revebebe
... suite le clitoris érigé. La jeune fille gémit en écartant les cuisses. Cette petite est décidément très chaude.
— Mais dis-moi, petite écervelée, on dirait que tu es excitée, ma foi !
— Madame ne l’est-elle pas aussi ?
— Devine…
— Madame m’autorise-t-elle à m’en assurer ? Que Madame ôte ses jupons, et elle verra comment je peux m’occuper d’elle…
Caroline la repousse, et entreprend d’ôter ses jupons. Marie en profite pour remplir les verres de vin. Quand elle revient, Caroline est nue. Elle l’attend, allongée, les cuisses écartées. Sa jolie chatte est gonflée par le désir. Les signes de son excitation perlent sa fente d’éclats luisants. Marie s’approche, s’accroupit entre ses jambes. Elle pose une main sur sa cuisse frémissante, laisse glisser ses doigts vers l’entrejambe et déclenche chez Caroline des frissons de désir.
Elle a posé un verre de vin près de la tête de Caroline. Elle prend l’autre verre, et laisse tomber quelques gouttes de liquide sur le ventre tendu de la jeune maîtresse. Le vin dégouline vers la toison. Une goutte s’immisce jusqu’à la fente. La jeune servante darde la langue, et vient cueillir la goutte avant qu’elle ne pénètre la vulve.
Elle verse un peu plus de vin. Il coule cette fois jusqu’au sexe, inonde la fente. La jeune fille darde à nouveau la langue, et lèche le liquide à même le sexe. Sa petite langue frétillante pénètre dans la fente, lèche les replis de peau.
Marie apprécie le goût mêlé du vin et de la mouille. Son habileté ...
... trahit son expertise : ce n’est pas la première femme qu’elle lèche. Caroline se laisse aller à son plaisir. L’alternance des sensations l’excite : le vin froid qui coule entre ses lèvres jusqu’à ses fesses, la langue chaude qui s’immisce partout, les doigts qui commencent à lui palper et lui écarter les lèvres. Elle ondule des hanches, et commence à se caresser les seins. Elle sourit à la jeune fille qui s’affaire entre ses cuisses, puis ferme les yeux.
Les doigts de Marie commencent à se faire plus envahissants. Ils pénètrent son sexe, taquinent son bouton, étirent ses lymphes. Marie écarte les cuisses. Soudain, une caresse sur son ventre. Surprise, elle ouvre les yeux. La jeune fille s’est emparée d’un pinceau épais, aux poils longs et doux, et le passe sur sa peau. La caresse est douce, très excitante. Quand le pinceau se dirige vers le bout de ses seins, elle croit défaillir, tant son excitation est intense. Elle sent ses tétons durcir et gonfler encore un peu plus. Quand le pinceau descend vers son bas-ventre, elle se cambre. Le pinceau parcourt sa peau, déclenche des frissons intenses, et exaspère son excitation.
Marie fait durer le plaisir, prend son temps pour parcourir l’intérieur des cuisses, l’aine, la hanche, remonte vers les seins, redescend… Quand le pinceau arrive sur son sexe, la sensation est étrange. Marie ne le fait pas pénétrer. Elle se contente de caresser les lèvres gonflées.
— Madame apprécie ?
— Oh oui, c’est si doux, si excitant…
— Si Madame ...