1. La pose


    Datte: 19/04/2019, Catégories: ff, ffh, inconnu, grosseins, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, historique, historiqu, hff, Auteur: Ben, Source: Revebebe

    ... vôtre, si j’en juge par ce que je peux voir, est un vrai bonheur pour le peintre que je suis. Recouchez-vous près de Marie, vous faites une scène superbe. Ne bougez plus !
    
    Sans perdre un instant, il prend un chevalet, y pose une grande feuille de carton, et prend ses fusains. Il croque les deux amantes à grands coups de fusain rapides, ses gestes sont précis, efficaces. Caroline est un peu intimidée au début. Comme elle est allongée là, la cuisse de Marie sur la sienne, la main de Marie sur son sein, elle révèle au peintre l’obscénité de son sexe ouvert. Cela semble ravir l’artiste, qui sourit dans sa moustache.
    
    Il ne manque pas de s’interrompre par moment, pour mieux contempler la scène qu’il croque. Il est visiblement excité par autre chose que la passion artistique : il semble à Caroline qu’une bosse révélatrice commence à gonfler ses chausses. Caroline peine à garder la pose. La main de Marie remue insensiblement sur son téton, et elle sent que l’excitation la gagne à nouveau. La jeune fille, qui doit être familière de ce genre de situation, interpelle son maître :
    
    — Cela va-t-il ainsi ? Est-ce que Monsieur veut que je cambre les reins, pour mieux lui montrer ma croupe ?
    — Non, c’est très bien, Marie, d’ici je vois parfaitement ta petite moule dodue.
    — Est-ce que Monsieur voit bien aussi celle de Mademoiselle ?
    — Oui, Marie, ne te fais pas de souci. Par contre, tu pourrais déplacer ta main et la placer sous son sein, pour mieux le mettre en valeur. J’ai ...
    ... rarement vu poitrine aussi aguichante.
    — Oui, Monsieur a raison, Mademoiselle a vraiment des appas énormes. J’en suis toute humide.
    — Je le vois, Marie, je le vois. Ta fente commence à dégouliner.
    — Monsieur me permet-il de me toucher ?
    — Non Marie ! Par contre, notre amie pourrait te soulager du feu qui te dévore.
    — Mademoiselle arrivera-t-elle à me toucher sans perdre la pose ?
    — Ne vous tracassez pas, j’ai terminé le plus gros de l’esquisse, vous pouvez bouger. D’ailleurs, je vais me servir un verre de vin pendant ce temps.
    
    Marie regarde Caroline d’un air suppliant. Elle se relève, et s’accroupit à hauteur de son visage. Caroline regarde le jeune sexe gonflé, rouge d’excitation. Elle ne peut s’empêcher de le toucher. Marie grogne de plaisir. Caroline glisse un doigt dans la fente humide.
    
    Le peintre ne se contente pas de se servir un verre de vin. Il se dénude aussi. Occupée à titiller le bouton de sa jeune partenaire, Caroline ne le voit pas s’approcher.
    
    Mais quand il se place derrière Marie et commence à caresser ses petits seins dardés, Caroline ne peut plus ignorer ce qui va se passer. Les doigts fins de l’artiste effleurent les tétons gonflés, les titillent et les pincent gentiment. Marie passe sa main derrière elle, et saisit le sexe du peintre déjà érigé. Caroline est surprise par la taille et la grosseur du gland, rose et luisant. La hampe est épaisse et longue, les testicules gonflés et pleins de la promesse d’une bonne giclée.
    
    Les mouvements habiles de ...
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