1. La pose


    Datte: 19/04/2019, Catégories: ff, ffh, inconnu, grosseins, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, historique, historiqu, hff, Auteur: Ben, Source: Revebebe

    C’est la première fois que Caroline pénètre dans l’atelier d’un peintre. La première chose qu’elle remarque, c’est la luminosité douce qui l’inonde : une grande verrière laisse entrer la lumière tout en filtrant les rayons directs du soleil.
    
    Les murs disparaissent sous des centaines de toiles, certaines achevées, d’autres manifestement en cours de réalisation, d’autres encore totalement vierges.
    
    Au centre de la pièce, une espèce de podium a été installée. Face au podium, un chevalet encore vide, une petite table où sont posés une canne à pommeau d’ivoire, des pinceaux, des couleurs et une palette usagée, semblent attendre l’artiste.
    
    Caroline est un peu impressionnée par la situation. Le peintre sera-t-il assisté de quelque aide pour lui préparer ses couleurs et ses ustensiles ? La servante qui l’a fait monter jusqu’ici restera-t-elle auprès d’elle pour l’aider à prendre la pose ? Et surtout, comment est ce peintre de renom ? On le dit très beau, et plaisant dans ses propos. Se révèlera-t-il à la hauteur de sa réputation ?
    
    La servante l’invite à s’asseoir sur le podium pour patienter, puis s’éclipse. Caroline est curieuse, et n’hésite pas à se relever pour aller examiner de plus près les toiles posées contre le mur.
    
    Il y a beaucoup de portraits, et de scènes de genre comme elles sont à la mode à la cour. Mais Caroline ne met pas longtemps à découvrir, parmi ces toiles charmantes mais anodines, quelques autres toiles qui lui rappellent immédiatement celles ...
    ... qu’elle a découvertes chez Madame de Marans : des scènes de genre certes, mais d’un genre bien particulier, puisqu’elles mettent en scène sans pudeur aucune des personnages nus et sensuels.
    
    Certains tableaux vont bien au-delà de la simple représentation de la nudité. Des hommes et des femmes y sont dépeints en train de s’adonner à des plaisirs solitaires, en train de copuler dans toutes sortes de positions et toutes sortes de situations. Caroline sent déjà son sexe se liquéfier : elle ne peut réprimer l’excitation qui la gagne chaque fois qu’elle voit des corps nus, fût-ce en peinture.
    
    En y regardant de plus près, elle reconnaît sur certaines toiles la servante qui lui a ouvert la porte. La jeune fille est bien séduisante, débarrassée de ses attributs de soubrette : un corps menu et svelte, de longs cheveux qui, dénoués, se répandent sur ses reins, des petits seins dressés couronnés de gros tétons roses, et un petit cul rond à croquer. Le peintre l’a-t-il dépeinte d’après nature, ou selon ses fantasmes ? Le visage est très réalistement dessiné, mais le corps est-il aussi désirable en réalité qu’il l’est sur la toile ? Caroline est très excitée. Elle remet les toiles en place, et se promet de trouver la réponse à cette question.
    
    À peine a-t-elle repris sa place sur le podium, que la porte s’ouvre. La servante apporte une carafe de vin et deux verres sur un plateau. Caroline a le temps de la dévisager pendant qu’elle verse le vin. Elle a une bouche très sensuelle : elle ...
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