Mardi 25 février 2048
Datte: 16/04/2019,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
hplusag,
fépilée,
amour,
Auteur: Nooz, Source: Revebebe
... petites lèvres ; ses yeux me supplient.
Selma me regarde aussi ; elle se caresse les seins, la bouche légèrement ouverte, son entrejambe écarté laisse apparaître une vulve dans le même état que celle de sa compagne. Je pose deux doigts à l’entrée de son vagin ; elle tend son bassin et ils pénètrent jusqu’à la garde. Elle hoquette, se resserre sur moi. Elle tremble. Je ressors prestement. Selma calme sa compagne, détourne son attention, pose sa main sur son abdomen ; sa respiration ralentit. Elle plie les jambes, pose ses talons sur le lit et avance son bassin de façon impudique ; j’écarte ses lèvres et pointe ma langue au milieu de la corolle rose. Elle ne se contrôle plus.
— Oooh… Je n’en peux plus…
Ma langue plonge au plus profond. Elle referme ses cuisses. Je lape l’abondant liquide qui sort de son ventre.
Hélène reprend peu à peu son souffle, serrée entre nous.
— Vous m’avez rendue folle !
Elle regarde mon visage inondé.
— Je n’ai jamais mouillé autant de ma vie ; vos langues, vos doigts… C’était merveilleux !
Soudain elle se cabre. Selma vient de poser son doigt sur son clitoris et imprime un mouvement rapide.
— Oh, mon Dieu, encore !
Elle crie, ses jambes tendues comme des arcs, les pieds fléchis et les orteils écartés. Une quantité non négligeable s’échappe encore de son ventre et macule le drap.
La complicité entre les deux femmes est fascinante ; je ne compte plus pour elles. Hélène, toujours, dans l’épectase, embrasse goulûment ...
... Selma et pétrit sans ménagement ses fesses, mordille, maltraite ses seins. Selma, tordue par le désir, frotte son pubis contre celui de son amante. Je pensais que l’amour entre femmes était tout en subtilité et douceur ; je constate, là, un combat débridé et empreint d’un érotisme violent. Le dos d’Hélène est zébré par les ongles de son amante. Selma vient de prendre possession de son ventre ; sa main entière semble être absorbée. Leurs bouches s’entrechoquent entre deux gémissements. Je me caresse, subjugué par la beauté de la scène.
À bout de forces, Selma, la respiration erratique, se rend, son petit corps en arc de cercle ne touchant le lit que par haut de la tête, la tête d’Hélène entre ses jambes, et ses bras tiennent fermement les hanches de sa compagne…
Selma est la première à sortir de sa torpeur ; elle bascule la tête de mon côté, légèrement affolée par la tournure de l’événement. Elle est vite rassurée devant mon érection et les yeux doux que je lui offre. Je me rapproche. Ses doigts qui tremblent légèrement entourent ma hampe. Nos langues s’effleurent, elles dansent. Hélène me gratifie d’une magnifique vision en m’enjambant. Selma profite de mon inattention pour englober mon gland dans le fourreau humide et chaud de sa bouche. La bouche d’Hélène remplace la lâcheuse ; elle a encore le goût de ma petite sauvageonne.
Ainsi encadré, je suis à la merci de mes deux diablesses. Je ferme les yeux et me laisse bercer par le flot de douceurs qu’elles me prodiguent. ...