1. Mardi 25 février 2048


    Datte: 16/04/2019, Catégories: fh, ff, ffh, hplusag, fépilée, amour, Auteur: Nooz, Source: Revebebe

    ... suis embarrassé par la situation ; elle ne semble pas gênée par la présence de son amie. Le temps est suspendu pendant une poignée de secondes, et soudain les lèvres d’Hélène m’effleurent timidement le cou ; je frissonne. Je me retourne vers Selma : elle me sourit et dégage le drap et la couverture qui me couvrent. Je ne suis vêtu que d’une grande chemise qu’elle s’évertue à déboutonner.
    
    Une fois dénudé, elles s’écartent conjointement du lit, et dans mon champ de vision elles se déshabillent. Elles sont devant moi, uniquement vêtues de leur petite culotte. La différence est troublante : d’un côté, un corps d’adolescente ; de l’autre, une femme accomplie pour qui tout homme se battrait pour obtenir ses faveurs : des seins voluptueux aux larges aréoles brunes sur lesquelles les lois de Newton n’ont pas encore prise malgré ses 35 ans, des courbes arrondies, un ventre rond et douillet, des jambes fuselées, une vulve bien dessinée avec un renflement prometteur à son extrémité supérieure.
    
    Hélène se place entre nous deux, au centre du lit ; elle admire l’érection que leur strip-tease a provoquée.
    
    — Il bande bien, ton homme !
    
    Sa main entoure ma verge ; elle est brûlante et légère.
    
    Selma saisit à pleines mains un sein et lèche le globe élastique ; le téton s’érige lentement. Je suis le mouvement et m’occupe pareillement de son voisin. La respiration d’Hélène s’emballe et les pointes brunes continuent à durcir sous nos langues. Elle me lâche à regret et pose ses mains ...
    ... sur nos deux têtes ; ses doits crispés dans nos cheveux, elle dirige nos bouches en fonction de son plaisir. Les grosses aréoles du début se sont fortement réduites, et leur sensibilité est à leur paroxysme.
    
    Sa main impérieuse me force à lâcher son téton et me dirige plus bas ; j’accède à son désir avec joie. Mes lèvres tracent un sillon humide, s’attardant sur son nombril, puis migrent sur sa hanche, frôlent sa cuisse. Je me positionne en bas du lit ; elle écarte ses jambes. Je couvre de baisers l’intérieur des cuisses ; sa peau est douce et réactive à mes caresses. Sa culotte dessine sa vulve trempée. Je libère Hélène de son dernier rempart. Une fragrance agréable atteint mes narines ; j’admire la vue : glabre, totalement ouverte, des lèvres gonflées coulent un ru de miel qui se perd sous le périnée. Mon index suit l’aine et touche le capuchon qui ne cache plus un clitoris volumineux. Elle tressaille et laisse échapper un feulement profond.
    
    Selma a quitté la poitrine et leurs langues se cherchent, s’enroulent. Je continue mon exploration et me rapproche par petites touches des zones plus sensibles. Quand mon index touche la peau fine qui sépare son anus de sa vulve, elle se contracte fortement, augmentant le flot de cyprine que mon doigt récolte.
    
    En les regardant je le porte à ma bouche. Aucune femme n’a le même goût ; le sien est délicieusement poivré et légèrement sucré. Nos yeux restent connectés et mon doigt cible les grandes lèvres. Je suis à l’orée de ses ...
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