Les dessous du porno
Datte: 15/04/2019,
Catégories:
fhh,
hplusag,
grossexe,
campagne,
voiture,
vidéox,
facial,
Oral
fgode,
fsodo,
coprolalie,
Humour
Auteur: Edouard et Julie, Source: Revebebe
... maire, pour connaître tout ça. Le metteur en scène, il était bien mal à l’aise, et c’est moi qui ai cherché à le tirer d’affaire :
— Allez, Monsieur, soyez sympa, c’est mon premier film porno, vous n’allez pas le gâcher. Vous êtes mignon, je vous taille une pipe, si vous voulez.
— Pour me filer le sida ? Non, merci, ma femme me suffit (Là, j’ai trouvé la phrase ambiguë : elle lui suffisait pour choper le sida ou pour la pipe ?)
Finalement, ça a été peine perdue, le metteur en scène avait les jetons, il ne devait sûrement pas être en règle (c’est peut-être pour ça que j’ai eu une fiche de paie ?) alors il a donné la caméra, on a remballé tout, reculé la bagnole pour laisser entrer le tracteur et on est tous repartis « la queue basse ».
— C’est bête, on peut dire qu’il avait des couilles, ça aurait été bien dans un film porno.(NDLA : quel esprit, cette fille !)
Après la rigolade, mon second sentiment a été que c’était foiré.
— On remet ça samedi prochain, dit le metteur en scène,
— Ah non ! Pas d’accord ! Ou alors il faut me payer de nouveau,
— Ça va pas non ? J’ai déjà perdu une caméra !
— Et moi j’ai perdu le pucelage de mon cul, je veux être payée.
On est rentré à la maison de campagne de Fred, je m’y suis lavée et changée, et il nous a fait à manger. Les produits commençaient à ne plus faire effet. J’avais un peu mal au cul. J’ai insisté pour me faire payer, il ne voulait pas. On est rentré à Paris et une fois à son bureau, Fred et Hardy partis, la ...
... discussion sur le pognon a recommencé.
— Je te file un tiers d’avance.
— Non, non, je veux deux tiers du pognon et c’est pas une avance : si on recommence, il faudra me repayer !
— Pas question.
— Tant pis, j’irai voir le paysan et je lui indiquerai vos coordonnées, j’irai aussi voir l’URSSAF et les impôts. (J’aurais été bien incapable de le faire, rien qu’à l’idée de dénoncer, je gerbe.)
— OK, OK, salope, t’as gagné, mais c’est pas comme ça que tu perceras ! Et puis tu me pipes, c’était convenu, tu me l’as dit, que je pourrais, quand t’aurais le contrat.
Je voulais mon pognon, alors je l’ai sucé. Il n’était pas fait pour être acteur, il ne s’est pas retenu longtemps et, au lieu d’éjaculer dans ma bouche, il s’est retiré pour m’en foutre plein la face.
— Tiens, vlà une serviette, sale pute, et vlà ton pognon, mais il n’y aura pas de suite. Tu me fais un reçu.
De suite, je n’avais plus du tout envie qu’il y en ait une. J’avais super mal au cul et ça a duré plusieurs jours. C’est inimaginable, t’aurais vu comment le Fred s’est déchaîné dans mon anus. Toi, à côté, dans mon sexe, et Dieu sait si tu es pourtant parfois vigoureux, ce n’est rien. Et j’avais le fond de la gorge tout irrité.
Voilà, tu sais tout de mon unique expérience ratée du porno, tu ne pourras même pas visionner le film, il n’a eu qu’un spectateur, le paysan.
* * * * *
Comme promis, ce n’était guère bandant, n’est-ce pas ? et glauque à souhait, et vulgaire, hein, messieurs les critiques ...