Les dessous du porno - Histoires de Sexe

Les dessous du porno

... dure le changement de scène (pour s’économiser), du coup c’est super frustrant. Fred, lui, continue dans ma bouche :

— Fred, quand on change de plan, tu arrêtes, tu veux l’épuiser ou quoi ?

Mince, ça me refroidit un peu. Moi, j’attends que ça, de me faire limer pour prendre mon pied, s’ils arrêtent toutes les minutes, ça ne va pas être terrible !

— OK, vas-y, Hardy, des bons coups de queue bien profonds et violents, mais lents et répétés. Ouais, super, comme ça. Julie, pose ta tête. Fred, enfonce-lui ton gourdin. Ouais, excellent, continue, gorge profonde, ouais, bien, Julie, gémis,
— Mmmm, mmmm, mmmm (Pas facile avec un gourdin dans le fond du bec, ducon !)

C’est vrai que je ne sens pas son sexe au fond de ma gorge.

— Putain, la salope, elle aime ça,
— Ouais, ce qu’elle est bonne ! On a bien fait de s’arrêter pour la monter !
— On la monte bien, elle déguste !
— Excellent, continuez à dire des conneries comme ça.

Un peu plus tard :

— Fred, retire ta queue. Julie, dis-leur que tu préfères te faire prendre par derrière.
— Ah, je vous veux par derrière !
— OK, descends de là.

On installe un grand drap par terre et je me mets en levrette. C’est toujours Hardy qui me pénètre.

— Baise-la en force, tiens-la bien par les hanches, active-toi. Fred, baise-lui la gueule, tiens-la par les cheveux et vas-y, faut qu’elle déguste, insultez-la.
— Tiens, prends ça, chienne ! pouffiasse ! tiens ! T’aimes ça, la queue, une dans la gueule, une dans le con, tu ...

... jouis, salope !
— Retire-toi de sa bouche juste le temps qu’elle hurle de jouissance.

Exécution, je ne jouis pas du tout, mais je hurle comme si.

— Allez, les gars, changez, Hardy dans sa bouche et toi, Fred, dans son con.
— Quand est-ce que je l’encule ?
— Après, quand je te le dirai.

Ça continue, Fred baise violemment, c’est nul, question plaisir. Hardy, lui, se laisse plutôt sucer mais je ne l’ai pas l’impression de lui procurer beaucoup de plaisir, car je ne sens pas trop ce que je fais.

Ça dure un certain temps, Hardy se fait engueuler :

— Te laisse pas sucer, baise-lui la gueule !
— OK, OK.

Mais il va moins profond, il cherche plus le contact de ma langue, il cherche plus son plaisir :

— C’est mieux, sors ta queue maintenant, promène-la sur son visage et toi, Julie, profites-en pour gueuler, même si tu jouis pas, joue la comédie et lèche-lui les couilles. Bien, reprends-la dans ta bouche, ouais, comme ça, laisse-toi sucer, maintenant. Bien, bon, Fred, vas-y, change de trou, doucement au début, elle est pucelle de là.
— Pucelle, mon cul ! avec les godes qu’elle s’enfile !

Fred passe dans mon cul, ça rentre tout seul, il est doux, il fait des mouvements pour que ça progresse, puis une fois bien en place :

— OK, pilonne maintenant, et lâche-toi à dire des conneries.
— Ah, t’en voulais dans le cul, salope, tiens ! prends ça !

Et là, ça commence à y aller effectivement. J’ai beau avoir mis ce qu’il faut, je sens un peu la douleur mais aucun ...