1. Les dessous du porno


    Datte: 15/04/2019, Catégories: fhh, hplusag, grossexe, campagne, voiture, vidéox, facial, Oral fgode, fsodo, coprolalie, Humour Auteur: Edouard et Julie, Source: Revebebe

    J’ai découvert Revebebe il y a peu de temps en cherchant de l’inédit sur Internet. J’aime le porno, mais les sites franchement pornos ne me font pas grand-chose. Les histoires non plus, du reste, plus précisément, pour une histoire vraiment excitante, il y en a dix « à chier ». Par contre, je prends beaucoup de plaisir à regarder vaguement les histoires les plus nases pour me délecter ensuite des critiques. Non pas celles du public (il y a toujours des gens qui aiment et qui n’aiment pas tel ou tel genre) mais celles de ceux qui s’auto-définissent « critiques littéraires de cul ». Enfin, ce n’est pas banal quand même ce qu’Internet peut faire : voici des gens qui passent leur journée sur des sites porno (pardon « érotiques », c’est le site des histoires érotiques), donc pas des gens très glorieux, quand même, surtout que c’est sans doute pendant leurs heures de boulot, et qui s’érigent en censeurs au nom de la morale, avec des réflexions du style « crade, dégueulasse, aucun respect pour la femme, on ne devrait pas publier ce récit… »
    
    Voilà ce qui m’a donné envie de raconter une histoire, pour mettre les choses au point devant ces messieurs qui aiment le porno sans assumer leurs goûts. Histoire vraie, sauf vantardises de celle qui me l’a racontée, hypothèse improbable, avec quelques arrangements apportés pour la rendre plus « romanesque » (j’ai failli écrire « romantique »). C’est l’histoire d’une nana qui a fait une expérience dans le porno, le vrai celui-là, elle raconte ...
    ... un tournage, ni plus ni moins. Si vous cherchez du bandant, vous allez être servi : rien ne l’est moins, mais rien n’est plus glauque ! En plus c’est vulgaire et aucun de ces pédants ne pourra écrire sans passer pour un con « La vulgarité aurait pue être mise de côté », vu que la vulgarité fait partie du porno…
    
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    Si on m’avait dit quand j’avais trente-cinq ans que je tromperais ma femme pour devenir quelques années plus tard un coureur invétéré et un assoiffé de porno, j’aurais rigolé. Non pas que notre couple était un exemple de passion amoureuse, mais nous nous étions toujours bien entendus à tous les points de vue (y compris sexuellement) et trois enfants étaient venus souder ce pacte informel.
    
    Et puis, voilà, la vie s’est chargée de faire de moi un obsédé, et j’assume. L’âge et la maladie ont diminué ma femme au point de l’obliger à s’installer à la campagne avec les enfants où on trouve plus facilement le repos et le personnel nécessaire pour vous aider. C’est elle-même qui m’a dit un jour :
    
    — Si je ne te suffisais plus, je le comprendrais et l’accepterais très bien, du moment que tu continues à m’aimer et à me faire du bien les rares fois où je suis assez en forme pour ça.
    
    Ça faisait un moment que ça me travaillait, avec peut-être aussi ce que l’on appelle le démon de midi avant le retour d’âge. C’est comme ça que j’ai connu Julie qui, si j’avais été précoce, aurait pu être ma fille. Il y a des femmes (j’ai mis un « s » mais je ne suis pas sûr du ...
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