Les dessous du porno
Datte: 15/04/2019,
Catégories:
fhh,
hplusag,
grossexe,
campagne,
voiture,
vidéox,
facial,
Oral
fgode,
fsodo,
coprolalie,
Humour
Auteur: Edouard et Julie, Source: Revebebe
... pluriel) dont la beauté vous touche au plus profond du cœur bien avant d’éveiller un quelconque désir. Et puis, il y a des femmes qui sont sexy avant d’être belles et qui excitent uniquement votre appétit sexuel le plus animal au premier regard. Julie fait partie de la deuxième catégorie (bon, il y a aussi une troisième catégorie de femmes, numériquement beaucoup plus importante, mais c’est hors de propos ici). De taille moyenne, presque petite, mais avec des proportions parfaites comme n’en ont le plus souvent que les femmes nettement plus grandes. Au-dessus de cette silhouette de rêve, un visage doté d’une fausse candeur enfantine que renient son sourire et son regard « d’allumeuse ». C’est d’ailleurs la seule femme qui m’ait dit, en riant mais en le pensant, « Je suis une allumeuse ». Elle aurait pu ajouter « et j’en suis fière ». Pour couronner le tout, Julie se donne souvent un air « belle et sotte », un rôle de composition dans lequel elle excelle, alors qu’elle est douée d’une vive intelligence et surtout de beaucoup d’esprit.
Je lui ai fait une cour empressée en grand seigneur et je dois avouer que je suis super fier de « me l’être faite ». C’est sûrement la conquête dont je suis le plus fier, avec ma femme. Je dirais même plus que ma femme. Quand on s’affiche dans un bon restaurant avec une jolie femme de son âge, les gens la regardent avec envie : les hommes par désir et les femmes par jalousie. Quand on s’affiche avec une jeune femme alors qu’on est plus âgé, ...
... c’est vous que les gens regardent avec envie : les hommes par jalousie (ils vous supposent exceptionnellement fortuné), les femmes par envie (elles vous supposent exceptionnel au lit) ! Maintenant hélas, la situation de Julie a changé et si je continue à « me la faire » régulièrement, je ne peux plus m’afficher avec elle.
Ce qu’il y a de super avec elle, c’est que cette relation purement sexuelle a fait naître en plus une certaine complicité. Je suis devenu et resté depuis (elle s’est mariée avec un type très riche, lui) son confident. C’est ainsi que je connais son expérience porno. Quand on a passé quarante ans, le coup met très longtemps à partir mais la recharge du fusil est encore plus longue. C’est dans un de ces moments intermédiaires (peut-être un peu longs au goût de l’intéressée) qu’elle me la raconta, mon comportement dominateur lui ayant sans doute remémoré les faits (j’avais joui dans sa bouche alors qu’elle était à genoux en la tenant par les poignets, genre de chose que les femmes n’acceptent pas parce qu’elles sont des salopes mais parce qu’elles aiment se livrer sans retenue à un homme qui les a comblées).
À partir de là, je lui laisse la parole, ou plus exactement j’écris à sa place, en essayant de respecter son style de langage oral et en ajoutant quelques réflexions personnelles annoncées par les initiales NDLA.
* * * * *
J’avais vingt et un ans à l’époque, presque vingt-deux, mais j’en faisais dix-huit et je crois que c’est ce qui plaît. J’étais ...