Les dessous du porno - Histoires de Sexe

Les dessous du porno

... qui parle).
— C’est toi le con ! (Là, c’est le metteur en scène). Sa question, c’était géant ! C’est ta réponse qui gâche tout ! Allez, on la refait, et tu redis « quand est-ce qu’on baise ».
— Merde, comment on les remonte, tes sièges ? (Là, c’est Aurélien, Hardy si tu préfères).

Bon, quelques petites explications s’imposent, données par le metteur en scène. Quand on passe au hard (ça dépend des metteurs en scène mais lui, il fait comme ça), il donne ses consignes dans le feu de l’action, après plutôt que de couper les bouts où on entend ses consignes, il coupe juste le son et le refait : c’est un peu plus de boulot mais ça évite les sauts d’images, surtout que tout est filmé par un gars qui n’a pas de trépied pour assurer la fixité de la caméra.

Bref, après quelques consignes, on attaque plus fort. Hardy me retire la jupe et les deux s’exclament sur mon joli string et ma chatte rasée (épilée, en fait). Fred enlève le haut et cette fois ce sont mes seins qui sont l’objet de réflexions d’une grande poésie. Moi, je mouille comme une folle, presque autant que quand tu me déshabilles, mon amour. Je souris le plus sottement possible :

— Ouais, super, c’est super, ton sourire, garde cet air de cruche tant que tu peux (Metteur en scène). Vas-y, Hardy, suce-la.

Il écarte mon string et se baisse pour me sucer, Pierrot filme par la portière ouverte. Fred n’est pas en reste : il ôte mon soutif et me pelote et lèche les seins. Tu sais, je ne recommencerais plus, ...

... maintenant, mais deux types qui s’occupent de toi comme ça, c’est plutôt affolant. Hardy ne suçait pas mal, mais c’était clair : je voulais de la queue.

— Julie, commence à déshabiller Fred, voilà comme ça, c’est bien. Bande, Fred, merde, bon, rhabille-toi, on reprend. Là, c’est bien, tu bandes, maintenant pompe-lui le dard et regarde la caméra.

On est un peu à l’étroit.

— Putain, tu suces comme une reine !(NDLA : Là, c’est Fred dans le dialogue du film, ceci dit, je fais remarquer à Julie que ça ne me viendrait pas à l’idée d’aller voir Elizabeth II pour une pipe, et là, on rit encore et on s’embrasse.)
— Ouais, c’est bien, arrête de le sucer et réclame de te faire sauter. Non, Hardy, pas toi, c’est Julie qui doit arrêter de sucer, t’es pas gay, ducon, c’est pas toi qui suces Fred et qui vas te faire ramoner !
— Allez, c’est bon, saute-moi au lieu de me sucer.

Je l’aide à se déshabiller, Fred se branle pendant ce temps-là. Hardy bande à mort, ça change de Fred, qui ne durcit vraiment que dans le feu de l’action. Je suis super excitée.

— OK, allez, action ! Tu la baises en lui écartant au maximum les cuisses et en les relevant. Ouais, comme ça. Fred, fous-lui ta queue dans la bouche et pelote ses seins. Bien, continuez, des bons coups de queue bien rapides, Hardy. Fred, tiens-lui fermement la tête et force-la à la bouger sur ta bite. Pierrot, passe de l’autre côté pour filmer.

Quand Pierrot passe de l’autre côté, Hardy arrête de me baiser pendant les secondes que ...