1. Si tu savais...


    Datte: 10/04/2019, Catégories: fh, policier, Auteur: Libero, Source: Revebebe

    ... fraîcheur de l’eau fait ressortir la pointe de ses seins sous le tissu mouillé. Elle m’échappe en riant et nage vers le large dans un crawl parfait.
    
    Je retourne sur la plage et m’allonge sur mon matelas en l’attendant. Je la vois sortir de l’eau et marcher vers moi de sa démarche élégante et racée.
    
    — Maintenant, je vais me faire bronzer ; cela te dérange si je retire mon maillot ? Je n’aime pas les marques de bronzage sur mon corps ! me dit-elle avec un sourire espiègle.
    — Si ça me gêne? Tu rigoles ! Catarina, tu es très belle et je vais pouvoir te regarder toute nue.
    — Regarde, mais je ne veux pas le savoir.
    
    Elle enlève son maillot et s’enduit doucement de crème ; elle me demande de l’aider pour ses omoplates qu’elle n’arrive pas à atteindre, puis déplie sa serviette sur son lit et s’allonge sur le dos en fermant les yeux de plaisir. Je reste assis à la regarder comme bon me semble. Sa peau déjà bronzé est légèrement cuivrée ; elle doit faire de la gymnastique car elle n’a pas un gramme de graisse sur le corps. Ses seins ont de petites aréoles et des pointes proéminentes. Sa toison sombre est clairsemée et rasé sur les côtés pour suivre la forme de son maillot.
    
    — Arrête de me regarder ! me dit-elle en tournant la tête vers moi.
    
    Elle prend son chapeau de paille dont elle se coiffe et, toujours en me fixant, écarte les jambes de chaque côté de son lit, me dévoilant son intimité dans un geste impudique. Je me penche, embrasse son ventre, ses cuisses, puis son ...
    ... sexe entrouvert. Sous mes coups de langue, elle commence à tressaillir et appuie ma tête contre elle, m’encourageant à continuer. Elle est très mouillée et, n’y tenant plus, je retire mon short et m’allonge sur elle en la pénétrant facilement. Avec la chaleur, la sueur et la crème solaire, nos corps glissent l’un contre l’autre comme si nous étions enduits d’huile ; c’est une sensation très agréable.
    
    — Julien, attends ; j’ai vraiment trop chaud : je vais venir sur toi.
    
    Je me retire et m’allonge sur le dos ; elle remet son chapeau qui était tombé par terre et vient se positionner au-dessus de moi en écartant les jambes de chaque côté du lit. Elle empoigne mon sexe et, pliant les jambes, se l’introduit dans son antre brûlant. Mes mains sur ses fesses lui donnent le rythme. Puis elle se retourne et s’assied de nouveau sur moi en me montrant son dos fin luisant de sueur. Avec son derrière juste devant moi, je peux voir, au milieu de quelques poils fins, son anus étoilé où j’introduis un doigt après l’avoir humecté avec son suc intime qui coule abondamment autour de mon sexe. Elle se masturbe tout en accélérant le rythme, s’appuyant sur ses pieds calés dans le sable, arrive la jouissance, et c’est avec des exhortations de satisfaction qu’elle s’écroule sur moi.
    
    D’un commun accord, nous retournons nous baigner pour nous rafraîchir et nous laver de nos liquides corporels et de la sueur qui ont envahi nos corps.
    
    Le déjeuner est composé de melon jaune et de pastèque qu’elle ...
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