Si tu savais...
Datte: 10/04/2019,
Catégories:
fh,
policier,
Auteur: Libero, Source: Revebebe
... avait mis dans une glacière, le tout arrosé d’un vin blanc résiné qui me fait rapidement tourner la tête. Après m’être allongé sur mon matelas, je m’endors comme un bienheureux.
À mon réveil, je m’aperçois que je suis seul ; Catarina a disparu. Je regarde autour de moi en essayant de la voir. Je la cherche dans le jardin, puis dans la maison où une fraîcheur bienvenue règne. Je la trouve dans une chambre, allongée sur un grand lit où le drap blanc contraste avec son corps nu. Elle a entrouvert la porte-fenêtre et une légère brise pénètre dans la pièce. Elle est couchée sur le ventre, légèrement penchée sur le côté, les jambes entrouvertes, son sexe largement offert à mon regard. Je sens l’excitation revenir au galop et je me penche vers elle pour embrasser son cou gracile ; elle se tourne vers moi et, avec un sourire, me rend mes baisers.
Après avoir caressé son intimité, Catarina se met tête-bêche sur moi ; après l’avoir léché, elle engloutit mon pénis. De mon côté, avec ma bouche et ma langue, je la besogne avec ferveur ; j’ai rapidement le visage couvert de son suc intime. J’ai du mal à me contrôler ; avant de venir dans sa bouche, je me retire et lui demande de se retourner sur le bord du lit.
— Si tu veux me prendre par derrière, vas-y doucement ; prends un peu de crème solaire dans mon sac.
— Tu es sûre ? Où est-il ?
— Il est resté dehors.
— Catarina, je t’en supplie : ne bouge pas, j’arrive !
Je retourne sur la plage, nu comme un ver, sans me préoccuper ...
... d’éventuels promeneurs pour récupérer son sac et je découvre le lieutenant en train de fouiller nos affaires. Très surpris, j’attrape une serviette pour me couvrir et lui demande :
— Vous cherchez quoi ?
— Quelque chose que nous ne trouvons pas ; une équipe est en train de fouiller son appartement à Athènes.
— Une équipe ?
— Des ouvriers qui réparent son plafond. Retournez dans la maison avec elle et restez-y quelque temps. Vous êtes occupé, non ? Appelez-nous ce soir ou demain matin.
Je reviens presque en courant dans la chambre, de peur qu’elle ne sorte avant. Elle est toujours sur le lit dans une position lascive, se masturbant doucement. Je prends énormément de plaisir à enduire son petit trou avec mon doigt, utilisant la crème solaire et un peu de salive.
— Sur toi aussi : ça doit bien glisser ! me dit-elle.
Je présente mon pénis à l’entrée de son anus et pousse légèrement. À ma surprise, après une petite résistance, je m’introduis assez facilement en elle ; c’est délicieusement serré, et après quelques va-et-vient je suis complètement enfoui dans l’étroit couloir. Mes mains positionnées de chaque côté de sa taille, je la besogne avec vigueur tandis qu’avec une main elle se caresse. De temps en temps je change d’orifice ; mais décidément, la sodomie, c’est plus excitant ! Je finis par éjaculer sur son dos, m’écroule à ses côtés et lui demande maladroitement :
— Tu as aimé ? Tu n’as pas eu mal ?
— Un peu ; je l’ai fait pour te faire plaisir. Prends-moi ...