Il n'est jamais trop tard pour mal faire
Datte: 25/02/2018,
Catégories:
fffh,
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campagne,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
confession,
Humour
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... l’envie de lui mettre un doigt dans le trou de balle en me servant de l’autre main disponible. Mon stratagème pour écourter la séance avait réussi : madame n’avait certainement pas eu d’orgasme, mais en tous cas elle avait joui. Solange s’essuya le minou avec son slip qui se trouvait à portée de la main avant de s’asseoir sur le lit et de m’inviter à conclure notre petite idylle. J’ai saisi ses chevilles avant de soulever ses jambes en les écartant, prêt au largage d’une petite giclée de spermatozoïdes. La fente était bien ouverte, et la rondelle – légèrement dilatée – s’était humidifiée. Certainement inquiète par ces trois secondes d’inactivé que je consacrais à mon voyeurisme naturel, Solange lâcha une phrase qui me surprit énormément :
— Tu termines de façon traditionnelle, s’il te plaît, Pierre. Pas question que tu passes par la petite entrée de service, je ne trouve ça pas convenable du tout. Désolée, mais je ne suis pas une cochonne dévergondée comme notre amie Annick !
C’est lors de notre petite toilette intime dans la salle de bain que je lui posai la question qui me travaillait :
— Mais comment peux-tu affirmer qu’Annick se fait sodomiser par son mari ?
— Ah, ce n’est pas elle qui m‘a fait ses confidences, bien évidemment ; on n’est pas vraiment de grandes amies… Par contre, Paul a évoqué le sujet avec mon mari. Il trouvait même que ça faisait partie du devoir conjugal de la femme, au même titre que la fellation.
Je n’en revenais pas ; mais bon, à ...
... soixante balais, plus rien ne m’étonne désormais.
Avant de ré-agrafer le soutif, je lui ai demandé de faire bouger ses mamelles une dernière fois, puis je lui ai donné un de mes caleçons car j’avais décidé de confisquer sa petite culotte léopard imbibée de ses odeurs intimes et de Soupline au muguet. Solange m’a demandé le secret absolu sur notre brève aventure extraconjugale. Elle ne m’a pas proposé de renouveler cette parenthèse sensuelle, moi non plus. Je l’ai fait rougir jusqu’aux oreilles quand je lui ai dit que c’était une experte de la fellation, avant de lui faire la bise du départ.
Malgré une abstinence sexuelle prolongée, tout était de nouveau en état de marche. J’avais totalement repris confiance en moi, peut-être trop !
Quand un copain de mon frère m’avertit que son épouse allait passer chez moi pour me ramener la tronçonneuse qu’il avait empruntée, je me suis réjoui d’avance. C’était dans la poche ; trop facile, même. Son épouse avait un visage ingrat, mais elle avait des rondeurs alléchantes placées aux bons endroits ; mais surtout, son mari s’étant fait opérer de la prostate il y a quelques années, madame devait être en manque. Un petit coup de bite, juste pour se faire plaisir, ni vu ni connu.
Je pris une des plus belles humiliations de ma carrière :
— Vous me prenez pour qui ? Je suis une femme honnête ; il n’y a pas que le sexe dans la vie. Vous piétinez les valeurs de la famille. Vous n’êtes qu’un vieux porc fétide !
J’avais déjà subi le même ...