1. Il n'est jamais trop tard pour mal faire


    Datte: 25/02/2018, Catégories: fffh, hagé, fagée, grosseins, groscul, campagne, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, confession, Humour Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... genre de mésaventure quand, pour nos vingt ans, on partit en vacances, mes copains et moi, en camping. On avait dragué des filles et je crus, naïvement, qu’en choisissant la plus moche, elle se montrerait très reconnaissante. Que nenni : je fus le seul du groupe à ne pas baiser !
    
    Quand, quelque temps après, Annick monta dans ma voiture, sur le parking de l’aérodrome, elle fut presque agressive :
    
    — Tu n’as même pas remarqué que j’avais maigri !
    
    J’avais vu qu’elle était bronzée, mais sa perte de poids ne m’avait pas frappé.
    
    Annick revenait du Sud pour un bref séjour de deux jours. La maison de ses parents avait enfin trouvé preneur et elle revenait pour signer les papiers chez le notaire, avec sa sœur et l’acheteur. Je servais de taxi. Sur la route, elle m’apprit que Solange était de nouveau grand-mère et que cette dernière l’avait informée longuement de l’épisode des billets de TGV. C’est juste avant d’arriver chez elle qu’Annick m’apostropha :
    
    — Je suppose qu’elle a payé tes services en nature en t’ouvrant ses cuisses, cette grande conne ?
    
    Un peu estomaqué puis énervé, d’abord par la brutalité des propos, ensuite par cette inquisition à mon égard, je sentais mon agressivité monter. « De quoi je me mêle, ma grosse ? » était au bord de mes lèvres. Je me suis dégonflé, pas par lâcheté, mais en souvenir de notre amitié. Peut-être que j’aurais quand même dû dire quelque chose car, devant mon mutisme, Annick en remit une couche :
    
    — Jure-moi que tu n’as pas ...
    ... couché avec elle.
    
    J’ai juré : ça ne me coûtait rien, et ça lui faisait plaisir.
    
    Il était 18 h ; je préparais deux apéros, dans son salon, pendant qu’elle était partie se rafraîchir dans la salle de bain. Il fallait qu’on mette au point l’organisation pour le lendemain.
    
    — Je ne veux pas que cette conne devienne ta maîtresse ; ni une autre non plus, d’ailleurs. Si ta libido te travaille trop et que tu as envie de t’envoyer en l’air, je me mets à ta disposition !
    
    Je tournais le dos à l’entrée du salon pour remplir nos verres ; je me suis retourné. Annick se trouvait dans l’encadrement de la porte du salon. Elle était en pantoufles roses et ne portait que des bas noirs et le string violet…
    
    Au pied de l’escalier qui menait aux chambres, elle me demanda d’enlever mes grosses chaussures à semelle crantée car elle avait ciré les marches et ne tenait pas à recommencer. Du coup, j’en ai profité pour enlever également les chaussettes et le jean en commençant à déboutonner ma chemise en la suivant, avec un peu de recul dans la montée de l’escalier.
    
    Quel cul ! Les deux sphères magiques, tant convoitées il y une dizaine d’années, me narguaient. Alors qu’il ne restait que deux marches à monter à Annick, je lui ai ordonné de s’arrêter séance tenante, de s’accrocher au rebord du palier car ça risquait de remuer : je n’y tenais plus. J’ai baissé son string et je lui demandé de soulever ses chevilles pour l’en débarrasser. Le temps d’ôter mon caleçon et de me frotter la queue ...
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