Il n'est jamais trop tard pour mal faire
Datte: 25/02/2018,
Catégories:
fffh,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
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confession,
Humour
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... roulé en boule. Elle se plia en deux pour remonter la lingerie, un peu gênée de la situation.
— C’est de ma faute, Pierre, je n’en avais pas pour longtemps alors je n’ai pas mis le verrou !
Sa foufoune était bien peu excitante : une simple fente sur le renflement du pubis sur lequel s’implantait une toison blonde et courte. Le pire, c’est quand je la vis remonter sa petite culotte : d’abord elle n’était pas vraiment petite, sa culotte : au moins du 50 à la taille, et confectionnée dans un tissu élastique, une espèce de culotte-gaine horrible chargée de contenir sa surcharge pondérale.
J’ai attendu mon tour et, en me lavant les mains dans la salle de bain voisine ; j’ai eu la curiosité malsaine de vérifier si toutes les culottes d’Annick étaient du même acabit ! Dans un tiroir étaient rangées, empilées sur deux tas, ces horribles culottes-gaines. Seule originalité, je constatai, en les soulevant une par une, qu’elles étaient de couleurs différentes. Et puis je découvris, tout en dessous de la dernière pile, un string mauve, avec son minuscule triangle de tissu transparent et sa ficelle. Cela devait valoir le déplacement : l’énorme cul d’Annick avec ses deux fesses monstrueuses séparées par la ficelle étroite. Ma copine ne devait porter cette tenue que pour agrémenter l’accomplissement du devoir conjugal, je suppose. Ce qui me sembla le plus étonnant, c’est qu’Annick ait pu trouver sa taille en string !
Solange, l’invitée en retard, était en train de remonter les ...
... bretelles de son mari quand je pénétrai dans le salon. Comme d’habitude, c’est au dernier moment, quand il ne pouvait plus retarder l’échéance que, dans l’urgence, il devait régler les problèmes dont il avait la responsabilité : en l’occurrence, changer un joint du robinet d’arrivée d’eau de la machine à laver, qui fuyait depuis deux semaines. Il avait rendu l’âme quand Solange l’avait ouvert pour lancer un lavage avant le départ.
Solange avait fait un petit effort dans son look, depuis l’année dernière où on avait aussi partagé un repas chez nos amis. « La grande » – comme l’appelait son époux – portait certes toujours un chemisier blanc et une jupe droite gris foncé, mais elle avait laissé pousser une mèche sur le côté droit de son visage, apportant un plus insolite à une coiffure brune où des cheveux raides et coupés très court frisaient la banalité. Le chemisier, légèrement translucide, laissait entrevoir les broderies d’un soutien-gorge renforcé. Solange avait des seins opulents et lourds, et ne semblait pas désirer les mettre en valeur outre mesure. Le plus insolite, c’était ses bas – ou ses collants – vert foncé. Quelle drôle d’idée d’avoir choisi cette couleur !
Annick n’appréciait pas vraiment Solange, mais Paul et le mari de Solange étaient des amis. Collègues de travail depuis longtemps, ils avaient les mêmes passions, la pêche et le football.
Mon épouse et Annick eurent droit au visionnage des photos des deux bambins et du nouvel appartement de la fille de ...