1. Il n'est jamais trop tard pour mal faire


    Datte: 25/02/2018, Catégories: fffh, hagé, fagée, grosseins, groscul, campagne, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, confession, Humour Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... mémé, mais super sympa. Son visage avait mal supporté le poids des années : beaucoup de petites rides et, autour du cou, deux rides plus profondes. Par contre, ses jambes étaient restées parfaites et elle n’avait aucun problème avec ses dents d’origine dont elle était assez fière.
    
    Le lendemain, à 10 h 30, je sonnai chez Mathilde. Elle était encore en pyjama. De couleur jaune, le vêtement avait connu des jours meilleurs. Dès qu’elle ouvrit la bouche pour m’informer qu’elle avait deviné le but de ma visite, une forte odeur de Bourbon inonda son haleine. Elle m’entraîna vers leur véranda. Mathilde avait changé sa façon de se coiffer et, en la suivant, j’aperçus entre ses cheveux teintés de gris et coiffés maintenant en boucles ondulées, quelques infimes portions disséminées de cuir chevelu. La belle-sœur perdait des cheveux et camouflait le phénomène par une coiffure plus sophistiquée.
    
    Elle en avait gros sur la patate, l’épouse trompée, qui en profita d’ailleurs pour vider son sac. Il n’y eut aucune négociation possible. C’est ...
    ... Mathilde qui fixa ses conditions, et c’était à prendre ou à laisser ! D’abord mon frère subirait la quarantaine encore au moins un trimestre ; et comme Mathilde voulait rendre la monnaie de sa pièce – et au centuple – à son mari qui l’avait humiliée, devinez qui elle choisit pour cocufier à son tour son époux volage ? Bibi, bien évidemment… Pas par un désir passionnel soudain, non : c’était parce qu’elle m’avait sous la main et que ça lui évitait de chercher sur le net un éventuel amant. En plus, la première séance, c’était maintenant !
    
    Mathilde enleva son pantalon de pyjama alors que je déboutonnais ma chemise. Son minou était très étrange : complètement imberbe, deux protubérances encerclaient la fente sur toute sa longueur. Cela me fit penser à deux gigantesques gousses de petits pois, qui se terminaient par deux excroissances arrondies qui pendouillaient entre ses cuisses maigrelettes.
    
    Contraint et forcé, je l’intégrai dans mon agenda. Après G.N. et G.C., il y avait désormais M.C. pour Mammy Cochonne ; car elle l’était ! 
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