1. Il n'est jamais trop tard pour mal faire


    Datte: 25/02/2018, Catégories: fffh, hagé, fagée, grosseins, groscul, campagne, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, confession, Humour Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... sans prendre la peine de remettre son soutif, avant de me suivre dans mon bureau et de me donner les références du site de billetterie. Du coup, c’est seulement vêtu de mon caleçon que j’allumai le PC.
    
    Les billets étaient déjà en train de s’imprimer. Aucun problème sur le site, j’aurai le temps de tondre ma pelouse, super !
    
    Solange vérifia le contenu de chacun des billets, minutieusement, au bord des larmes. Elle semblait libérée de ses angoisses et m’étreignit dans ses bras longuement en sanglotant. Elle essuya ses larmes avec un petit mouchoir et avoua que tout son corps restait crispé. Elle me montra même que ses mains tremblaient encore.
    
    — Je sais bien, Pierre, que tu vas penser que j’abuse mais, par pure charité, même si tu dois prendre sur toi, j’ai vraiment besoin que tu me fasses un très gros câlin pour évacuer définitivement ce stress qui me noue le ventre. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour ne pas te décevoir. S’il te plaît…
    
    Le temps de fermer la porte de la chambre d’amis pour avoir un peu plus d’intimité, de fermer à moitié le volet, Solange était pratiquement nue.
    
    Je la trouvai très sensuelle, pliée en deux, le visage tourné vers moi, faisant glisser sa petite culotte léopard sur ses chevilles avec un sourire qui exprimait une espèce de gratitude. Toujours avec le même sourire, elle s’accroupit devant moi, baissa mon caleçon jusqu’à mi-cuisses et engloutit mon pénis. Elle me suça très méthodiquement, prenant son temps, s’arrêtant de ...
    ... temps en temps pour s’essuyer les lèvres d’un revers de main et pour me demander si j’étais satisfait. Une splendide érection récompensa la brave Solange.
    
    Comme je n’étais pas un goujat, que sa foufoune était bien dodue et qu’une belle touffe brune l’agrémentait, je me suis mis à genoux et j’ai goûté le minou en noyant mes doigts dans sa toison. Il y avait une odeur de muguet ; ce n’était certainement que la Soupline parfumée du lavage, mais bon, c’était agréable quand même. Bien entendu, c’est à ce moment que sa fille appela. Et bla-bla et bla-bla… Curieusement, j’ai repensé à la tonte de ma pelouse, alors j’ai un tantinet précipité les choses. Alors que Solange n’en finissait pas de raconter ses déboires, je me suis mis sur le côté et je lui ai enfilé l’index et le majeur dans la fente, en douceur mais bien profondément avant d’entamer une séquence de ça-va-ça-vient, les deux doigts dans la foufoune.
    
    Très surprise d’abord, elle m’a laissé faire. Elle a commencé ensuite à fermer les yeux de temps en temps pour savourer, puis sa respiration s’est accélérée car sa glotte jouait à l’ascenseur. Elle s’est arrangée pour mettre fin à la conversation en disant qu’elle rappellerait. Sa main libre qui ne tenait pas le smartphone s’est posée sur le haut de sa chatte et elle m’a accompagné. Elle ne faisait pas semblant, Solange : visiblement, elle avait une certaine expérience de ce genre de petite gâterie ! Quand elle commença à pousser de petits cris aigus, je n’ai pas résisté à ...
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