1. Il n'est jamais trop tard pour mal faire


    Datte: 25/02/2018, Catégories: fffh, hagé, fagée, grosseins, groscul, campagne, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, confession, Humour Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... chronique. Je ne suis pas près de lui pardonner toutes les angoisses qu’il m’a fait subir depuis ce début d’après-midi… J’ai au moins vieilli de cinq ans en une demi-journée à cause de ce guignol en qui je n’aurai désormais plus aucune confiance.
    
    Bien que je n’aie plus eu de relations sexuelles depuis belle lurette, je me suis montré grand seigneur :
    
    — Tu n’as aucune crainte à avoir : pas besoin de te sacrifier. Tu t’installes devant l’ordinateur. Je prends une douche, je me change, et on règle ton problème.
    — Comparée à ta jolie voisine qui m’a ouvert sa porte tout à l’heure, je comprends que ma proposition ne t’intéresse pas le moins du monde ! Tu as beaucoup mieux à te mettre sous la dent…
    
    Elle semblait horriblement vexée, la grande Solange.
    
    — Pas de conclusion hâtive, Solange : ma jolie voisine n’est qu’une copine. Loin de moi le désir de t’humilier ; pour me faire pardonner, je peux t’avouer que je trouve ta poitrine somptueuse et que je prendrais grand plaisir à tripoter tes gros nichons. Si tu me le permets, bien évidemment…
    
    Solange chaussa ses lunettes et, boudeuse, me précéda dans l’escalier qui menait à mon bureau et aux chambres, avec son dossier réservation, sa carte bleue et son smartphone. Sa fille, au courant de la situation, ne manquerait pas de s’informer de l’évolution du mini-drame qui se jouait. Son pantalon ne lui allait pas du tout car il accentuait la platitude de ses fesses et la largeur de ses hanches. En plus, il était trop court et ...
    ... dévoilait des chevilles fortes.
    
    Au sortir de la douche, en caleçon, j’allai prendre un jean dans mon armoire située dans la chambre d’amis. Solange m’y attendait, toujours aussi boudeuse. Elle avait enlevé son sweat rouge, gardé son pantalon et son soutif renforcé.
    
    — Est-ce que Monsieur daignera me dégrafer mon soutien-gorge pour se motiver en tripotant mes seins avant d’aller sur l’ordinateur ? Mais je n’oblige pas Monsieur ; c’est juste une proposition…
    
    Je n’avais rien à répondre. Elle était vraiment susceptible, la dame. Je me suis donc placé derrière Solange et j’ai dégrafé la lingerie avant d’en faire glisser les bretelles. Je suis resté en place puisqu’il n’y avait qu’à passer mes bras sous ses aisselles pour empoigner les gros nichons. Certes, les seins n’étaient plus du tout arrogants sans le soutif, mais plutôt affaissés. Je pris quand même plaisir à les empoigner et les pétrir. Une main seule ne suffisait pas à les contenir entièrement. Je suis passé devant pour faire face à miss-gros-nichons et empoigner successivement chaque mamelle, à deux mains, en agrémentant les caresses de quelques coups de langue sur les aréoles. Histoire de garder un bon souvenir, je me suis reculé de deux pas et j’ai demandé à Solange de faire bouger ses grosses mamelles, en balancier, de gauche à droite. Elle ne m’accorda que quelques secondes de spectacle, mais j’en avais eu pour mon argent !
    
    Solange était tellement angoissée pour ses billets de TGV qu’elle renfila son sweat ...
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